Complément pour vieille ponette qui ne mâche plus...

Bonjour à tous,

Ma vieille ponette, Vénus, ne mâche plus trop ses aliments. Il lui manque des dents. En plus, elle a plein de sable dans les intestins, et vu son âge, il n'y a que le Sand Clear pour essayer de l'aider à ce sujet.
Résultat, elle ne mâchait plus sa paille d'avoine donc colique avec 2 bouchons intestinaux la semaine dernière, elle a bien failli y laisser la peau. D'ailleurs, si votre véto n'y pense pas et que l'évacuation dure un peu, pensez à demander des perfusions. Je pense que ça lui a évité une déshydratation sévère, voire carrément ça a contribué à lui sauver la mise (avec parafine, massages, shiatsu, Reiki, ostéo énergétique et berceuses, on a pas mégotté, heureusement que j'ai plein d'amis doués...).

Je change donc son alimentation.

Pour l'apport de fibres, j'ai le Pré Alpin de St-Hyppolit. Ca lui convient bien.

Pour l'apport plus énergétique, elle ne mâche plus l'orge trempée, qui finit toute entière dans les crottins. Je cherche donc un produit de remplacement qu'il n'est pas nécessaire de mâcher trop. Vous avez des idées?

Je m'excuse, c'est hors sujet et ça ne t'aidera pas mais... mon dieu je craque devant les bouilles des "pti vieux" , je ne dois pas etre normale mais ça m'attendrit plus qu'un poulain. Ta ponette ressemble au vieux cheval de ma copine (mort cet année) mais qui avait 36 ans

Pas de problème...

Je ne sais pas quel âge elle a, mais plus de 30 ans je pense...

Le voici ! si tu veux je lui demande ce qu'elle donne à ses "vieux" car elle a aussi un palomino d'une trentaine d'années et une jument de 24 ans (une jeunette !!)

sur la fin de sa vie, ma vieille jument de 30 ans, ne mâchait plus guère son orge...je le retrouvais intact dans son crottin
elle avait beaucoup maigri ...
elle vivait en pré donc avait herbes à volonté... on rajoutait du foin suivant la météo (automne et hiver)

j'ai acheté chez des agriculteurs Aveyronnais, une poudre de céréales germées séchés très efficace pour lui redonner du poids et faciliter sa digestion... cela a été le produit miracle que j'ai fait en cure pour ma vieille pendant des années... je pense que cela lui a permis de vivre quelques années de plus.

cela s'appelle germ'tonic

je le mélangeai a des granulés humidifiés transformé en pâte ...

http://www.germtonic.com/fr/germtonic.php

Bonjour ... et oui les vieux ont toujours leur "fan" , c'est pareil a la maison ...



Ma vieille mamie chet qui nous a quitté le 12 septembre dernier a l'âge fort avancé de 42 ans ++ , n'avais plus e molaires depuis deja pas mal de temps , elle avait maigri ++ avant que l'on se rende compte que bien que perpetuellement le nez dans le foin et l'herbe ben elle arrivait plus a avaler .

Je l'ais passé a la pulpe de betterave + son + luzerne dans une grande bacholle en faisant une grosse soupe bien epaisse a volonté , et en plus elle avait sa ration de phyto plus des cereales floconnées "pures" et des oligo element a bases d'algues le tous dans un fond de "soupe" ci dessus et remouillé avec ... du jus de pomme ! du coup en plus elle etait super bien hydratée puisque le tout contenait beaucoup d'eau !



Je peut te garantir qu'avec ce regime elle c'est remplumée serieusement même sur le haut du dos là ou on y croyais pas le moins du monde ... elle nous a quitté certe mais "belle et dodue" à souhait !



du coup mes autres vieux chevaux ont aussi leur seau de soupe en plus du reste plus ou moins enrichit suivant les besoins ils adorent litteralement !

Du floconné que tu imbibes avec un peu d'eau avant de donner? Le floconné devient pâteux avec l'eau.

Mon vieux commence à avoir moins de dents aussi, le foin ne suffit plus à le nourrir vraiment, c'est plus une occupation.
Dans le style du pré alpin, y'a le fibrissimo ou fourraplus (moins bonne qualité). C'est ce que je donne au mien car aucun revendeur st hyppolit ici).

Tu lui donnes quelle quantité de pré alpin par jour?

dreamy : il s'agit de faire vraiemnt une soupe epaisse ...surtout pas une "pate" avec les risque de bouchons



tien je lui faisait aussi trempe dans sa soupe du fibrissimao , de temps en temps et aussi des briques de ... ( ro je sais plus le nom ) , mais elle aimait moins quand y avait des "briques" dedans !

Jusqu'ici elle avait 2 litres. Réhydraté, ça fait un sacré volume. Mais elle avait en plus de la paille d'avoine à volonté, ce qui est très bien quand ils mâchent encore... Et presque 2 litres d'orge bio trempée avec de l'AlgOhm et des EMA. Je pense que le germ'tonic serait redondant avec l'AlgOhm.

Là, elle n'a pas encore trop d'appétit, elle préfère manger de l'herbe. Je crois qu'elle n'a pas encore évacué toute sa parafine.

Je vais essayer du floconné, peut-être, orge-avoine-maïs.

Essai vraiment avec la pulpe de betterave, j'en ai gardée des petits vieux sans molaires en très bonne état jusqu’à des ages très avances aussi (même un pur sang de 30 ans!) Ne lui donne pas de maïs stp, ses intestins ne vont pas le digérer.

Orge, avoine, maïs est un bon mélange je trouve et ça reste simple.

calouha a écrit:

Essai vraiment avec la pulpe de betterave, j'en ai gardée des petits vieux sans molaires en très bonne état jusqu’à des ages très avances aussi (même un pur sang de 30 ans!) Ne lui donne pas de maïs stp, ses intestins ne vont pas le digérer.

Ah bon, je ne savais pas pour le maïs. Même s'il est aplatit ou floconné?

As-tu essayé de faire germer un mélange orge/avoine? Je tenterai car ça se rapproche de l'herbe et c'est pré-digéré, grâce aux enzymes activées lors de la germination. De ce fait l'amidon est dissout et le grain digeste.
Et puis côté nutritif c'est puissant. Peut-être que tu pourrais le mélanger à ce que tu lui donnes déjà?
A essayer, d'autant plus qu'elle semble préférer l'herbe...
Je t'envoie plein d'ondes positives et tu as tout notre soutien.
C'est admirable tout ce que tu fais pour cette petite puce.

Oui, le germination le rends plus digest et plus nutritive aussi. Juste quelque choses a lire :



On
sais tous que le cheval est un herbivore, qui, dans un état sauvage, passe ses
journées et ses nuits a manger (au moins 18h/24) Le reste du temps, il se
repose, joue, se reproduit, se déplace et a des interactions avec ses congénères. Ce qu'il mange, il faut qu'il le cherche, un brin par si, un brin
par la. C'est une matière assez sèche, comme le foin mais donc sur pied.
Logiquement, le foin est l'aliment de choix pour entretenir notre cheval, par
terre (et pas dans un râtelier ou filet de foin)Le foin en libre service, foin
d'herbe varié.

Le cheval étant donc
un herbivore, ses intestins ne sont pas faits pour digérer des céréales. En tout
petit quantité, il le peut, comme il peut en trouver dans la nature aussi aussi,
quelques graines par si, quelques raines par la. Mais quand on donne des
céréales en trop grande quantité (et c'est vite fait, trop!!) les bactéries et
enzymes qui, normalement digerent les fibres, sont détruites et remplaces par
des mauvaise bactéries, notamment le streptococcus bovi. Ce bactérie crée en meme
temps d'acide lactique et on arrive a un cercle vicieuse, de mauvais bactéries
qui détruisent les bons etc etc! Si on donne des céréals tout le temps, le foin
et l'herbe seront moins digérés, donc moins bien assimilés, le cheval aura du
mal a garder son poids. Par contre, si on ne donne que du foin (du bon foin!sans
légumineuses!) le cheval tire au maximum profit des fibres et vitamines/oligo
elements dedans. On va voire que, un cheval précédement nourri au grain qui
avait du mal a garder son poids, et puis mis sur un régime plus saine de foin,
va gagner en poids (peut etre pas tout de suite, son corps doit d'abord éliminer
le surplus de toxines et stabiliser les bons bactéries) En hiver, on peut compléter avec quelque chose de sain et sans trop de risque, comme le pulpe de
betterave et éventuellement un peu d'avoine entier.
Un bon pierre a lecher (sans melasse) suffit amplement. La plupart des problemes
de sabots vont disparaitre aussi avec un alimentation sain. Un cheval qui
travail (travail dur, par exemple, plus de 5 heures/jour) peut avoir plus
d'avoine dans sa ration, mais pas de mais, ni d'orge . Pour un vieux cheval, on
peut encore complémenter par d'avoine où de l'orge germe, comme ça c'est pré digéré.
L'alimentation d'un cheval fourbu est
pareil, même fortement conseillé comme ca.Une cheval fourbu chroniquement reste
"chronique" par ce que on nourri sa fourbure avec céréales et autres "choses"
dont il peut et doit se passer.
J'ajoute deux
liens et un text prise d'un des sites:
http://doupix.wordpress.com/2009/06/23/lalimentation-naturelle/

L'alimentation est surement un des domaines les plus difficiles à
gérer et à
comprendre pour le propriétaire. On
peut lire tout et son contraire ou bien se
retrouver face à des tables d'aliments dont on ne comprend
parfois même pas l'intérêt.
Pourtant
l'alimentation peut devenir très simple et surtout être faite
maison.
Notre règle d'or se résumerait à : peu
mais diversifié, de région et de saison.

Avant d'aborder plus en détail l'alimentation du cheval
domestique prenons
d'abord le temps d'étudier
brièvement celle du cheval sauvage.

Le cheval
sauvage vit sur des prairies pauvres qui l'obligent à marcher
longtemps pour se nourrir. Il parcourt ainsi quelques dizaines de
kilomètres,
petit pas après petit pas pendant
environ 16 heures par jour.
La répartition de ces
heures n'est pas égale entre le jour
et la nuit.
En été, la journée est plutôt
passée à se
reposer, chasser les mouches et autres comportements alors qu'en
hiver sans mouche pour l'importuner, il broutera plus volontiers
et beaucoup
plus longtemps. Il n'hésitera pas à
marcher quelques kilomètres pour brouter
cette
herbe qu'il aime ou celle - ci qui lui fait tant de bien. De même
pour
boire, il sera amener à se dépenser et à
marcher jusqu'à un point d'eau parfois
très
éloigné de leur lieu de pâturage. Le cheval sauvage développe,
par
imitation de sa mère et des autres chevaux
qu'il côtoie, un véritable 6ème sens
en ce qui
concerne les plantes toxiques, qu'il évitera et les plantes
bénéfiques pour lui, qu'il mangera quand il en a le besoin. Il
fait face à une
diversité alimentaire énorme dont
il profite par petites quantités. Broutant
une
bouchée avant de faire quelques mètres et de replonger la tête dans
l'herbe
pour une autre bouchée pleine de saveurs.
A l'état sauvage, on observe peu de
maladies
comme le syndrome naviculaire ou la fourbure et très peu de
chevaux
sont obèses même au plus fort du
printemps quand l'herbe est à son maximum
énergétique. Ce mode de vie semble donc réussir au cheval sauvage
et permet sa
survie.

Pourquoi ne pas transposer ce mode de vie à notre cheval
domestique ?
Souvent des contraintes de terrain
apparaissent alors. En effet, rare sont les
propriétaires qui peuvent offrir à leurs chevaux 10 hectares de
forêt et de
prairies pauvres où vivre en troupeau
organisé. De même, rare sont les
propriétaires de
jument qui ont envie de voir leur cheval immontable de temps à
autre pour cause de poulain dans les pattes. Les gagnants dans
l'histoire
seraient les propriétaires d'étalon
qui pourraient faire payer chaque saillie
et ceux
d' hongres qui ne risquent rien. Nous voilà donc face au
problème
du cheval domestique. En effet, celui -
ci est cantonné sur un petit pré ou
pire encore
dans un box, véritable prison pour ce buveur de vent. Mais
parlons
ici d'alimentation, le reste a fait
l'objet d'autres chapitres.

Inspirons - nous
du modèle sauvage qu'il nous suffit d'adapter afin de
permettre à notre cheval de demeurer en bonne santé. Récapitulons
donc:

- Le cheval sauvage parcourt énormément
de kilomètres pour manger. La
meilleure solution
domestique serait de mettre en place un paddock paradise ou
au moins partiellement (voir le chapitre ...).
- Le cheval sauvage mange sur des prairies naturelles pauvres. A
l'état
domestique, malheureusement, à peu près
toutes les prairies ont été ensemencées
que ce
soit il y a 10, 20 ou 50 ans. Elles sont donc souvent composées
d'un
mélange de plantes sélectionnées sur
plusieurs critères :
- résistance au piétinement
;
- pousse rapide ;
- qualités nutritives optimales.

L'entretien régulier de ces pâtures permet de conserver un
rendement
constant d'une année à l'autre. Ce qui
donne des prairies qui sont pour les
chevaux
comme des confiseries à volonté pour nous. Certains s'en tireront
très
bien; pour d'autres, c'est la fourbure au
moindre brin d'herbe aperçu. Cela
arrive souvent
aux chevaux rustiques, habitués à une nourriture pauvre, comme
les mérens, les haflingers, les shetlands,
...

Pourtant, ces mêmes chevaux mis sur des
prairies naturelles n'ont pas les
mêmes
problèmes. Pour s'en convaincre, il
suffit
d'observer les mérens à l'estive par exemple, et ce n'est pas
parce
qu'ils mangent moins que nos chevaux de
loisirs, bien du contraire. Alors,
faut-il
accuser la fatalité ? Ou bien ne serait-il pas plus juste de se
demander ce que reçoivent ces chevaux en plus par rapport à leurs
congénères à
l'estive ?

En effet, un cheval à l'estive se trouve dans les conditions de
vie sauvage
presque parfaites. Il mange l'herbe
de prairie non traitée, a accès à une
diversité
de plantes/arbres/herbes qu'on ne trouve pas dans nos prés.
Quelle
serait la solution pour nous qui n'avons
pas accès à ce paradis équin ? Tout
simplement,
essayer d'implanter cette diversité dans notre pré pour en faire
une prairie la plus naturelle possible. Plusieurs choses sont
alors possibles :

* Aller récolter des
plantes "sauvages" et les acclimater à nos prés;
* Acheter des graines de plantes délaissées et les
semer;
* Combattre l'invasion des plantes
"industrielles" comme le trèfle hybride et
permettre l'installation d'un coin plus sauvage fait d'orties, de
chardons, de
ronces, ...
* Arrêter les herbicides et autres engrais chimiques. Laissez
votre prairie
vivre et fauchez les
refus.
* Combattez les vers grâce à des
traitements en biodynamie et des plantes
spécifiques (armoise, absinthe, fougère mâle,
...)
* Utilisez les EMA.

Tout ça bien sûr est profitable pour des chevaux obèses, qu'en
est - il pour
les autres ? Ceux qui ont besoin de
tellement d'énergie qu'ils ont parfois
jusqu'à 10
litres de granulés en un seul repas, ces chevaux de compétition
qui
restent maigres malgré ces 10 litres et dont
on pense souvent à augmenter la
ration en accord
avec le vétérinaire. Ce même vétérinaire qui normalement a dû
apprendre à l'école que le cheval ne pouvait pas digérer plus de
2 kilos
d'amidon, le reste surchargeant les
organes régulateurs (foie, reins, ...), celui
-
là même qui sait que la mélasse et les dérivés du sucre sont mauvais pour
le
cheval. Quelle contradiction n'est-ce pas ? Et
bien, ces chevaux aussi tireront
profit d'une
prairie naturelle allant même jusqu'à regrossir si l'on arrête
tous les granulés ce qui est vivement conseillé. Les granulés
sont vraiment une
plaie pour le cheval qui soit
les digèrera mal, soit devra trouver un moyen
d'évacuer ces toxines. S'en suit alors abcès, fourbure, ulcères,
fragilisation
de la flore intestinale, ... Et pas
forcément dans cet ordre là, ni un à la fois.
Certains signes ne se verront pas tout de suite mais ils sont
bien présents et
quand ça empire, c'est souvent
difficile de faire demi tour.

Trés intéressant tout ça Calouha!

C'est vrai que beaucoup de chevaux domestiques sont bien loin de leurs vrais besoins...

Dans le cas de Vénus, la ponnette de Valérie, le problème est qu'il n'y a pas assez d'herbe pour la nourrir. Nous sommes dans le Var, et l'herbe est une denrée rare! Ici la roche est à fleur de sol, la terre trés argileuse.

Le foin à volonté est une bonne solution pour les chevaux, mais dans son cas les fibres ressortent quasiment comme elles sont entrées... Certes, ça l'occupe de machouiller, mais au niveau assimilation: zéro.

Le "pré alpin" est un excellent produit, qui apporte ce lest dont elle a besoin.

Et je trouve que l'orge germée est une excellente idée, mais combien de fois par semaine?

Moi je donnerais aussi plusieurs fois par semaine un mash spécial vieux chevaux (genre strucomix sénior) aggrémenté de pommes et carottes finement râpées.

Citation :

Trés intéressant tout ça Calouha!

+1!

Oui mais pour un vieux cheval avec peu ou plus de dents qui à l'état sauvage, ne serait certainement plus de ce monde, ça devient encore plus compliqué!

Dans ce cas, l'essentiel de la ration ne devrait il pas être que du pré alpin (ou autre)? La fibre est la base de la ration.

C'est sure! ans l'état sauvage, un vieux sans dents survivra pas longtemps! Les fibres sont essentiels effectivement, comme le pré alpin! La pulpe peut apporter un peu plus d'énergie (j'ai déjà mise le lien quelque part mais je le remets : http://www.endurance-belgium.com/conseils/PulpeBet/PulpeBet.htm) Par contre, ajouter des céréales n'apportent, a mon avis, rien, s'ils ne sont pas pré germés. Les céréales pures (trempés ou non) ne font que détruire la flore dont le cheval a besoin pour justement digérer les fibres!

que devient ta pépette Val,as-tu trouvé une solution pour la nourrir au mieux?

Elle a eu beaucoup de chance que tu lui donnes encore de bonnes années à vivre près de toi,plein de caresses pour elle,tiens-nous au courant...Mais si je ne me trompe pas,elle est en pension chez Juliette?...Elle est alors bien soignée et surveillée

Merci Mireille!!!!

Oui effectivement, Vénus est en pension chez moi, ainsi que la belle Lilith!

Val ,comment va ta ponette aujourd'hui,elle avait eu une colique?...

As-tu trouvé un moyen de la nourrir avec d'autres grains?

Oui donne nous vite des nouvelles de ta pépètte !

Alors comment va la mamie ponette ?

Oui, on veut des nouvelles!

As tu trouver avec quoi complémenter ta belle?

Je me permet de répondre à la place de Val, je pense qu'elle ne m'en voudra pas!

Vénus va bien, elle reprend du poids tout doucement, mais sûrement. Elle fait sa petite vie de retraitée, sous la surveillance de sa copine Lilith. Val veille à ce qu'elle ne manque de rien, et s'est bien creusé la tête pour lui élaborer ses menus!

Elle est au foin de montagne à volonté, dans des filets à petites mailles. Mais on ne peut pas dire qu'elle en consomme beaucoup. Le midi et le soir, je lui distribue 2 litres de Pré alpin trempé avec 1/2 litre de floconné. Elle se régale et a bon appétit.

Place aux photos de la plus mignonne des mamies: