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| | Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 0:39 | |
| Je ne veux pas repolémiquer sur l'efficacité des vaccins qui reste encore à démontrer ou sur leur dangerosité mais je souhaite faire une mise en garde.
D'après ce site:
http://www.verites.org/categorie-1218881.html
Le vaccin hexavalent (DTCoqPolio + Hémophilus + Hépatite B), destiné aux nourrissons est remboursé depuis le mardi 1er avril 2008
Voici une information extrêmement importante, à faire circuler massivement (Information vérifiée et validée).
« C’est-à-dire que les nourrissons vont être vaccinés contre l'hépatite B sans que la plupart de leurs parents le sachent. L'inclusion du vaccin "contre" l'hépatite B dans un kit polyvaccinal, fera passer la pilule en douceur. Le médecin prescripteur n'aura même plus besoin de prononcer le mot qui fâche (hépatite B), il prescrira "InfanrixHexa" et le tour sera joué. Le Ministère espère bien sûr par cette technique astucieuse*, augmenter la couverture vaccinale contre l'hépatite B dans notre pays, couverture qui plafonne aux alentours de 30 % malgré tous les messages de réassurance sur l'innocuité de ce vaccin. Quelques mois ou années plus tard, les parents découvriront avec stupeur que leur nourrisson a été vacciné contre l'hépatite B sans qu'ils l'aient su. Des enfants risquent de plus de recevoir deux fois le vaccin contre l'hépatite B, une fois avec cet Hexavac (qui ne dit pas son nom) et une autre fois de façon séparée, si les parents vont voir un autre médecin qui ne fait attention et ne voit que la case du vaccin anti-hépatite B dans le carnet de santé, qui est restée vide.
De plus, le calendrier vaccinal actuel recommande de réaliser le même jour, en un site différent, le vaccin "Prévenar", comportant sept valences de pneumocoques.
C'est donc 6 + 7 = 13 vaccins que l'on se propose de faire le même jour, à un nourrisson de 2 mois
Je rappel que l'hépatite B se transmet par voir sexuelle ou par le sang contaminé (laboratoire travaillant à l'époque pour Sanofi Pasteur). Un nourrisson ne peut donc pas être contaminé sauf par le sang lors d'une transfusion. Rien ne prouve l'efficacité de ce vaccin. Les laboratoires ont recemment été condamnés pour pour avoir inciter une population non à rique à se faie vacciner par le mensonge. Lors d'une contamination par l'hepatite B, il y a des signes cliniques que dans 1 % des cas. Beaucoup pense que l'hepatite B est une maladie qui a pris de lempleur à cause des vaccins eux même. De nombreux livres ont été écrits uniquement sur ce vaccin car c'est l'un des plus dangereux. Les laboratoire disent qu'il faut vacciner les enfants car la myeline de leur cerveau n'est pas encore formé et qu'il n'y a donc pas d risque. Drole d'information quand o nsait que l'autisme a été multiplié par 10 en 10 ans aux USA.
Chacun doit fair son choix mais ne croyez jamis votre médecin, regardez vous même la composition du vaccin. |
| | | paesyre
Age : 35 Nombre de messages : 947 Date de naissance : 02/09/1988 Date d'inscription : 07/03/2008
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 1:40 | |
| Tu parle de l'autisme, les chiffres en Angleterre étaient de 1 enfants sur 80 en l'an 2000. Je n'ai pas les chiffres plus récents, mais ça augmente beaucoup. En France la situation est à peu près égale. Concernant le vaccin de l'hépatite B, les fabricant sont mis en examen pour tromperie agravée. Je cite quelques lignes qui sont parues dans le biocontact d'avril: - Citation :
[....] Le porte parole du laboratoire Sanofi Pasteur MSD a affirmé que toute cette histoire était uniquement «franco-française». [...] Seuls trois pays ont vacciné en masse: la France, les Etats-unis et l'Italie où le ministre Italien de la santé a touché 600 millions de lires quelques mois avant qu'il ne rende la vaccination obligatoire dans son pays. Il a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme. [...] entre 1999 et 2002, chez les enfants de moins de 6 ans,chez lesquels il n'existe officiellement «aucuns problème» en France, le Vaers (un organisme qui compte les complications vaccinales) a enregistré 13 363 accidents, dont 1 850 hospitalisations et 642 décès pour ce vaccin. On pourrait être affolé par ces chiffres, mais une étude démontre que «seulement 1% des accidents graves lui étaient reportés».
Bon j'espère que je vous ai pas fait trop peur, et que je n'ai pas été trop long; mais connaissant les risques, je ne voulais pas vous laisser ignorants. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 2:26 | |
| 1 sur 80 tu dois te tromper c'est pas possible ou alors c'est complètement fou. En France les vaccins provoquent 100 fois moins d'effets secondaires que dans les pays ou les vaccins ne sont pas obligatoires. On a trop de la chance. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 2:33 | |
| A non j'ai vérifié, on parle de 1 sur 300 quelques années avant 2000. Donc le chiffre de 1 sur 80 est possible. Pourquoi personne n'en parle? C'est monstrueux comme chiffre. http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=7971 Il y a pas un vaccin contre l'autisme à base d'aluminimum? |
| | | Shaïtan
Age : 43 Nombre de messages : 775 Date de naissance : 16/06/1980 Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 10:12 | |
| Whoua dis donc!!!!!!! Je travaille auprés d'adultes autiste mais n'avais pas eu connaissance de tels chiffres!!!!!! Aprés il faut être prudent avec cette maladie car n'ayant actuellement aucune certitude sur son origine, on la met comme conséquence à de nombreuses affections et origines diverses.........le moindre souci pendant une grossesse et votre enfant sera autiste!!! du coup plus ça va plus une psychose s'installe par rapport à ça.....en même temps ça a progréssé car avant on mettait cela sur le compte de la relation mère/ enfant et on faisait culpabiliser la mère++++ http://autisme.france.free.fr/docs/f7.htm | |
| | | Shaïtan
Age : 43 Nombre de messages : 775 Date de naissance : 16/06/1980 Date d'inscription : 05/02/2008
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 29 Avr 2008 - 10:16 | |
| http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=7971 Mais cet article est quand même super intéréssant je vais de ce pas le lire à mon travail!! par contre ça n'explique pas pourquoi la majorité des enfants atteint d'autisme sont des garçons... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Sam 9 Aoû 2008 - 15:34 | |
| L'hépatite B se transmet principalement par la salive! Donc une cuillère prétée et hop, hépatite B, les enfants qui bavouillent partout en crèche: magnifique voie de transmission! Sans parler des baisers à l'adolescence!
Quand tu parles de 1% de signes cliniques, tu te trompes, et de beaucoup! La phase aiguë de la maladie est insymptomatique dans 90% des cas, mais la maladie reste là, le malade continue à être contagieux pour les autres, et dans 1 cas sur 10 après plusieurs années il peut y avoir évolution en cirrhose, voire en cancer du foie. D'autre part, il existe 1% de formes appelées fulminantes avec coma d'emblée et décès en quelques jours, le seul traitement étant une greffe de foie en urgence. L'hépatite B est donc une maladie qui n'est absolument pas à prendre à la légère: elle cause entre 1 et 2 millions de morts par an dans le monde!
La seule prévention est la vaccination, et à ce jour aucune étude scientifique sérieuse n'a fait le lien entre le vaccin de l'hépatite B et l'apparition de maladies mentales.
Alors quand j'entend parler de conspiration en ce qui concerne l'hépatite B, excusez moi mais ça me met hors de moi! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 12:48 | |
| C'est totalement faux, l'hépatite B peut se transmetre en théorie par la salive mais seulement en théorie car les cas de contamination par la salive sont extrememnt rares voir totalement inconnu.
C'est ce qui a fait polémique pour cette maladie car la tu rabaches la campagne d'information qu'il y a eu il ya plusieurs années.
Saches que les laboratoires ont été condamnés par la justice pour ces propos car à l'heure d'aujourd hui aucun étude n'a prouvé que l'hépatite B pouvait se transmettre par la salive et ça c'est la conclusion des experts.
Pour les chiffres, je ne vais pas te contredire, tu as tes chiffres, j'ai les miens. Personnellement je ne suis pas allé vérifier et toi non plus.
Par contre qui te dis que le vaccin est efficace?
Une chose est sure, il est très dangereux. Quand une personne tombe dans le coma 10 secondes après l'injection, tu ne peux pas parler de cohincidence.
Après chacun est libre de se faire vacciner mais être pour l'obligation vaccinale c'est dénigrer les milliers de victime et la liberté individuelle.
Et pour te répondre sur les études scientifiques: aucune étude scientifique sérieuse n'a montré une véritable efficacité sur la plus part des vaccins.
J'ai l'impression que avant de répondre tu n'as pas trop lu tous les messages sur la question.
Pourquoi la France serait un pays d'exeption???????????? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 13:45 | |
| http://www.votresante.org/suite.php?dateedit=1202322880
Vaccin contre l’hépatite B : des mises en examen pour tromperie aggravée
07-02-2008-Le vaccin contre l’hépatite B, dès 1994, on vous l’avait dit : “C’est une bombe à retardement” Par Sylvie SIMON Quatorze ans après la campagne nationale de vaccination contre l’hépatite B, les responsables de deux laboratoires ayant mis au point et commercialisé le vaccin ont été mis en examen pour “tromperie aggravée”. Il était temps ! Après avoir déclaré que les accusations portées à l’encontre des responsables “ne sont pas justifiées”, le porte-parole du laboratoire Sanofi-Pasteur MSD a affirmé que toute cette histoire était uniquement “franco-française”. Il n’y a que lui pour le croire, à part ceux qui sont à l’abri de toute information venant de l’étranger. En Allemagne, comme en Grande-Bretagne, les autorités sanitaires ont refusé de la conseiller, aussi les vaccinations ont été très réduites et les effets secondaires également. Seuls trois pays ont vacciné en masse, la France évidemment, les Etats-Unis et l’Italie où le ministre italien de la Santé a touché 600 millions de lires quelques mois avant qu’il ne rende la vaccination obligatoire dans son pays. Il a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, mais le vaccin a engendré des dégâts semblables aux nôtres. Aux Etats-Unis, depuis 1990, la loi fédérale oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), dépendant de la FDA (Food and Drugs Administration) et du gouvernement américain. Or, entre le 1er juillet 1990 et le 31 octobre 1998, le VAERS a dénombré 24 775 effets secondaires du vaccin contre l’hépatite B, dont 9 673 cas très graves et 439 décès, parmi lesquels 180 ont été classés “mort subite et inexpliquée du nourrisson”. A ce sujet, notre journal a consacré, en 1999, un long article à Michael Belkin qui a témoigné, le 18 mai 1999, devant le Congrès américain. Alors qu’elle était “pleine de vie et de santé”, sa fille est morte en 1998 à l’âge de cinq semaines, quinze heures après avoir reçu sa deuxième injection du vaccin antihépatite B. Le médecin légiste de New York décréta qu’il s’agissait du syndrome de la mort subite du nourrisson, négligeant de mentionner dans son rapport que le bébé avait un oedème du cerveau et qu’elle venait de recevoir le vaccin antihépatite B, alors que le coroner avait bien confirmé que le cerveau était hypertrophié. Or il est notoire que la mort subite du nourrisson est due à un problème respiratoire et non neurologique. Ce cas est loin d’être unique aux Etats-Unis et existe aussi en France. Au fil de sa longue et minutieuse enquête, Michael Belkin apprit qu’aucune étude n’avait été réalisée à partir des données du VAERS. “Les autorités de la santé persistent à minimiser négligemment le torrent continu de sérieuses réactions adverses de ce vaccin et de plus en plus d’enfants et d’adultes continuent de mourir et de souffrir de troubles neurologiques centraux et hépatiques après cette vaccination. Dans le monde de la finance, de telles tromperies aboutiraient à des poursuites judiciaires. Mais cela ne se produit guère dans le monde médical. Il n’y a aucun règlement imposant l’intégrité du CDC (Centers for Disease Control and Prevention).” Quant aux enfants de moins de 6 ans, chez lesquels il n’existe officiellement “aucun problème” en France, entre 1999 et 2002, le VAERS a enregistré 13 363 accidents, dont 1 850 hospitalisations et 642 décès pour ce seul vaccin. On pourrait déjà être affolé par ces chiffres, mais le 2 juin 1993, la FDA avouait dans Jama qu’une étude du CDC démontrait que : “Seulement 1 % des accidents graves lui étaient rapportés”. Le magazine Money de décembre 1996 a bien confirmé cet infime pourcentage. Il est certain que si l’on multiplie les chiffres officiels par ce pourcentage, la situation est terrifiante. Comme cela se produit en France, l’énorme sous-déclaration des complications vaccinales fausse complètement les données sur lesquelles s’appuient les autorités médicales pour promouvoir leur politique vaccinale. L’analyse indépendante des données informatiques issues du VAERS met en évidence, pour la seule année 1996, 872 accidents graves enregistrés chez les enfants de moins de 14 ans, en rapport avec le vaccin antihépatite B. Cette année-là, 48 enfants en sont morts. En résumé, les accidents déclarés après le vaccin antihépatite B sont trois fois plus fréquents que les cas d’hépatite B, rarement mortels, observés chez les enfants de moins de 14 ans, alors que tous les officiels, américains et européens, ne cessent d’invoquer l’avantage du bénéfice-risque accordé à ce vaccin. Liraient-ils ces chiffres à l’envers ? Déjà, en 1994, The Lancet (vol. 344) avait dénoncé : “La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré.” Ainsi, contrairement à ce que l’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B sont officiellement reconnus et ne sont pas réservés à la France. Mais en France, seuls les gens avertis - et bien peu le sont - lisent The Lancet. Ainsi, aux Etats-Unis comme en France, la crainte des maladies propagée par l’industrie pharmaceutique et les médias a abouti à une croissance du pouvoir de cette industrie bien au-delà de ce qui devrait être toléré dans toute démocratie. Le 14 juin 1999, le Dr Jane Orient, présidente de l’Association de médecins et des chirurgiens américains (AAPS), a témoigné devant le Comité de réforme du gouvernement et a évoqué les 4 600 dossiers impliquant, outre la sclérose en plaques, bien d’autres maladies centrales du système nerveux, dont le syndrome de Guillain-Barré, le lupus érythémateux et aussi l’augmentation inquiétante de l’asthme et du diabète insulinodépendant, que l’on occulte totalement en France. Elle a conclu : “Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction grave au vaccin peut être 100 fois plus grand que le risque d’hépatite B.” A ses yeux, la politique vaccinale “est basée sur des conflits d’intérêt, une méthodologie scientifique éloignée de la critique indépendante, et les réactions sérieuses défavorables restent ignorées. Elle représente une violation du Code de Nuremberg car elle force des individus à avoir un traitement médical contre leur volonté, ou à participer à l’équivalent d’une expérience à grande échelle sans un consentement éclairé.” La FDA a confié 30 000 dossiers médicaux de personnes ayant présenté des effets indésirables au Pr Bonnie Dunbar, professeur de biologie cellulaire et moléculaire à l’université de médecine Baylor à Houston. En collaboration avec des collègues d’autres universités et institutions médicales, le Pr Dunbar a éliminé les cas douteux, puis a étudié les cas des familles dont plusieurs membres ont très mal réagi à la suite de cette vaccination. Pour ces chercheurs, d’après certains groupes HLA, le système immunitaire du malade s’emballe, devient aveugle et, reproduisant les maladies auto-immunes que l’on observe au cours des infections virales naturelles, détruit certaines parties du système neurologique. Afin d’étudier le rôle que peuvent jouer les facteurs génétiques dans les réactions au vaccin, Bonnie Dunbar a introduit plusieurs demandes auprès du gouvernement américain qui les lui a refusées. Elle pense qu’il existe, aux Etats-Unis, au minimum 200 000 cas d’effets indésirables. Dans ce pays, un certain pourcentage est prélevé sur le prix du vaccin pour dédommager les accidents vaccinaux. Etant donné qu’entre 1990 et 2000, 1 048 milliards de dollars ont été payés, et que la somme maximale octroyée pour un décès ne peut excéder 250 000 dollars, ce chiffre dément à lui seul toutes les assertions officielles affirmant que rien ne prouve la nocivité des vaccins. S’ils sont tellement inoffensifs, pourquoi tant d’argent attribué aux victimes ? D’autant qu’aux Etats-Unis, comme en France, le parcours des malades pour obtenir que la Justice puisse faire son travail est aussi hasardeux qu’onéreux et, alors que l’administration de Clinton avait déjà durci la procédure d’obtention de cette compensation, celle de Bush a supprimé tout espoir pour les familles des victimes. Au Canada, le VAAE (Vaccine Associated Adverse Events) reçoit 4 000 à 5 000 rapports spontanés par an, alors que les médecins canadiens ne sont pas obligés par la loi de rapporter les effets secondaires des vaccins (excepté dans l’Ontario). Là encore, en raison de la très certaine sous-notification, combien existe-t-il de cas en réalité ? Ce résumé de la situation en Amérique du Nord prouve bien que les problèmes vaccinaux ne sont pas réservés à la France, comme les autorités cherchent à nous le faire croire. Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante. Outre les poussées de sclérose en plaques et le syndrome de Guillain-Barré, on trouvait des névrites optiques, l’arthrite, les polyarthrites, les péricardites, l’érythème polymorphe, le lichen plan, uvéites postérieures, paralysies faciales. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 13:45 | |
| Une litanie de mensonges “Nous entendons faire valoir notre point de vue dans cette affaire”, a déclaré Benoît Soubeyrand, directeur médical de Sanofi-Pasteur MSD. Il a ajouté qu’il va “collaborer au mieux de ses possibilités avec le juge d’instruction”. On ne peut être qu’inquiet de la collaboration du laboratoire avec le juge d’instruction, tout en nous demandant comment il va répondre de l’accusation de “tromperie aggravée”. Car il s’agit bien avant tout des énormes mensonges proférés par le laboratoire au moment de cette OPEA sur la santé publique. Tout le monde a le droit de se tromper, mais pas de mentir lorsqu’il s’agit de la santé publique. Mais avant de citer les plus gros mensonges de ce laboratoire, il est important de savoir qu’il a eu de nombreux complices parmi le gouvernement, les instances de santé, et certains medias. Seront-ils aussi mis en examen ? Ce serait indispensable dans une véritable démocratie, car, dans cette campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola et les mensonges se sont succédé à une cadence jamais égalée auparavant dans le domaine de la santé. C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est à la fois juge et partie. Dans cet élan, il n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : “La salive est un important vecteur de la contamination”, alors qu’on n’a jamais rapporté un seul cas de contamination transmise par la salive. Et le Conseil général des Hauts-de-Seine s’est fait le complice des marchands de vaccins en diffusant un tract de la même veine : “On peut contracter l’hépatite B par la salive, le baiser, le partage d’objets familiers”. Et en 1999, dans La Vaccination (éditions Que Sais-Je), Claude Hannoun, professeur honoraire à l’Institut Pasteur, osait encore affirmer : “Le virus, tout à fait différent de celui de l’hépatite A, est transmis directement ou indirectement à partir du sang, de la salive, du sperme et des sécrétions vaginales”. Ce professeur honoraire sera-t-il sanctionné pour son mensonge ? Pour sa part, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui lui avaient évidemment été soufflés par les marchands du vaccin : “L’hépatite B ce sont 40 000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes”. (Cf. Libération, 4 septembre 1994). Pouvait-il alors ignorer que les estimations officielles (Réseau national de la santé) se situaient autour de 8 000 ? Cette année 1994, durant tout le mois d’octobre, un camion forum sillonna la France pour présenter l’émission “Love in Fun”, et le “Doc”, alias Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de “l’information”, affirmait alors que quatre milliards d’individus étaient touchés par le virus. Ce chiffre, qui représente 70 % de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. En l’occurrence, il s’agissait de la violation de l’article 13 du Code de déontologie médicale française et ce médecin, qui a délibérément violé les règles du serment d’Hippocrate en n’ayant aucun “souci des répercussions de ses propos auprès du public” et en ayant fait montre d’une évidente “attitude publicitaire”, aurait dû comparaître devant le Conseil de l’ordre. Or, celui-ci s’est bien gardé de le poursuivre alors qu’il condamne, sans aucun état d’âme, de nombreux médecins pour des raisons bien plus anodines, ne serait-ce que de soigner avec des “méthodes non conventionnelles et non éprouvées”. Les méthodes utilisées durant cette vague de folie étaient-elles “conventionnelles et éprouvées” ? Malgré l’énormité de ce mensonge, à présent oublié, le Dr Spitz anime certaines émissions télévisées. On peut imaginer la rigueur de l’information qu’il diffuse. On peut juger de la rigueur des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne du laboratoire Pasteur-Mérieux, qui a été publiée au “Journal de 20 heures” le 23 mars 1998 sur la 2 : “Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur... Il faut dramatiser... faire peur avec la maladie”. A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la “nécessité de vacciner” a été basée sur des affirmations qui relèvent du délit de publicité mensongère. Comment les défenseurs du laboratoire vont-ils pouvoir noyer cet énorme poisson ? Pour justifier cette campagne, le Pr J.F. Girard, alors directeur général de la Santé, n’a pas hésité à affirmer que l’épidémie avait tendance à s’étendre et que cette affection présentait un problème majeur de santé publique ! (Cf. Le Généraliste, n° 1643, 1995.) Comment peut-on expliquer les fausses assertions d’un responsable qui devrait être l’un des mieux informés de France ? Notre ex-directeur de la Santé semble avoir ignoré les chiffres objectifs dont on disposait déjà et qui sont en parfaite contradiction avec ses déclarations. Ils provenaient de deux sources : la première est une enquête menée par le “Réseau Sentinelles” (500 médecins généralistes répartis dans toute la France et travaillant pour l’Inserm), et la seconde est une enquête regroupant des échantillons sanguins provenant de la Surveillance épidémiologique de la Courly (70 laboratoires d’analyses biologiques dans la région lyonnaise). La courbe de la Courly montre que l’on avait douze fois plus de cas d’hépatite B en 1978 qu’en 1992, et les chiffres comparés de ces deux réseaux démontrent une diminution de 90 % des cas observés depuis cette époque, donc avant la campagne publicitaire en faveur du vaccin. Mais, comme c’est en 1994 que l’on a entrepris les grandes campagnes de vaccination, cette amélioration est évidemment attribuée aux seules vaccinations, alors que l’accélération de la baisse des cas constatée dès 1986 correspond au retrait des lots de sang contaminé. Car il faut savoir que de nombreuses hépatites B ont été criminellement transmises par la transfusion sanguine de sang contaminé ou l’échange de seringues chez les drogués. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Quant au Pr Jacques Drucker, alors directeur du Réseau national de santé publique, il prétendait, en 1997, qu’il y avait 3 000 décès par an à cause de l’hépatite B. Mais le 24 mars 1998, interviewé sur France 3 dans l’émission “Nimbus”, il affirma alors qu’il y en avait environ 1 000. Lorsque la journaliste lui fit remarquer que le chiffre fourni l’année précédente était trois fois supérieur, il coupa court en corrigeant ses chiffres : “1 000 à 3 000 décès par an”. Voilà encore un bel exemple de précision “scientifique” chez un responsable de la santé publique ! Interrogé à son tour, Antoine Flahaut, de l’Inserm, maître de conférence à Paris VI, affirma pour sa part, sur des bases beaucoup plus sérieuses, qu’il y en avait entre 630 et 1 000 au maximum. Ainsi, M. Douste-Blazy nous a donné, au sujet des cas d’hépatites B en France, un chiffre cinq fois supérieur à celui fourni par le Réseau de la santé publique, et le Pr Drucker, directeur de ce même réseau, a avancé un chiffre de trois à cinq fois supérieur à celui de l’Inserm ! Faut-il incriminer l’ignorance, l’incompétence ou le mensonge organisé ? Pour cette campagne, la Direction générale de la santé a bénéficié de la complicité du CFA (Comité français pour l’adolescence) - subventionné par les laboratoires et qui a augmenté ses rentrées d’argent de 450 % dès le démarrage de la promotion - et de la collaboration de SmithKline Beecham et de Fun Radio, partenaires de qualité, comme on le voit. Dans Ouest-France du 6 septembre 1998, le Dr Plassart ne s’est pas privé, lui aussi, de désinformer ses lecteurs : “Le virus de l’hépatite B se transmet par voie vénérienne et par la salive. A l’heure des premiers baisers, les jeunes courent le grand risque de contracter l’hépatite B.” Quant au “partage d’objets familiers”, souvent cité, il faut être certain de l’extraordinaire crédulité de la population pour imprimer et répandre de telles inepties. Mais combien d’adolescents ont cru ces mensonges puisqu’ils émanaient de personnes “responsables”, de ceux qui sont chargés de leur montrer l’exemple de la probité. Michel Georget, professeur de biologie, a lui aussi remarqué quelques mensonges au cours de cette campagne. “J’ai relevé un énorme mensonge dans un dépliant distribué par le laboratoire SKB qui n’hésitait pas à écrire “L’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an” ! ce qui voudrait dire a contrario que le sida tue moins en un an que l’hépatite B en un jour. A supposer, pour simplifier, que l’hépatite B fasse 365 morts par an (soit un par jour, ce qui est déjà très supérieur à la réalité), cela voudrait dire que le sida tue moins d’une personne par an ! Hélas, il n’en est rien. Il n’empêche que ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges, les lycées.” Aucun des tracts distribués à outrance ne mentionnait les dangers potentiels de ce vaccin, pourtant signalés depuis belle lurette dans la littérature scientifique internationale. Enfin, la plupart de ces tracts avançaient des chiffres englobant l’ensemble de la planète pour les morts par hépatites - sans toutefois le préciser, il va sans dire -, ce qui fausse complètement les données, puisque les pays en voie de développement présentent des risques des dizaines de fois supérieurs à ceux de la France, de l’Europe ou des Etats-Unis. De même, certaines informations confondaient les chiffres de l’hépatite B et ceux de l’hépatite C sans indiquer que le vaccin antihépatite B n’a aucun effet sur l’hépatite C (à part ses effets secondaires dangereux). Ils ont aussi mis l’accent sur le cancer du foie associé au virus, utilisant le même amalgame entre la situation des pays du Tiers-monde et celle de la France, tout cela sous le couvert de l’OMS. Le 14 février 2005, l’Institut de veille sanitaire nous prévenait que les résultats préliminaires qui permettaient de disposer, “pour la première fois en France métropolitaine”, d’une estimation du taux de prévalence du portage de l’antigène HBs dont la présence signe une infection chronique par le virus de l’hépatite B, était “plus élevé que ce qui était proposé jusqu’à maintenant”. Puisque c’est la première fois qu’on mène une pareille étude en France, comment peut-on parler d’un taux “plus élevé” étant donné qu’on n’avait aucune valeur de comparaison, ce qui est bien la preuve que l’on nous dit n’importe quoi. Dès le lendemain, 15 février 2005, Le Figaro reprenait le chiffre de 300 000 personnes contaminées par le virus de l’hépatite B, et citait Maxime Journiac, spécialiste de Sida Info Service, qui posait une question qu’il qualifiait de “lancinante” : “Est-ce l’abandon des campagnes de vaccination qui est responsable de cette aggravation ?” Et il reprenait la litanie de mensonges : “Le virus se transmet par le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, la salive et les liquides issus d’une plaie”. Personne ne semble avoir remarqué dans cet article qu’avec la moitié de la France “protégée” du virus par le vaccin, il existe bien plus de cas qu’avant la campagne de vaccination massive. Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination de masse, on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit. L’article signalait également que “La France est le seul pays européen où l’opposition au vaccin contre l’hépatite B a eu de telles conséquences judiciaires et médiatiques que la couverture vaccinale a reculé”, en se gardant bien de dire que nous sommes le seul pays européen à avoir subi de telles pressions des laboratoires et à leur avoir obéi. Ainsi, en Grande-Bretagne, on a vacciné 5 %, et non 50 %, de la population. Même si “notre couverture vaccinale a reculé”, elle est de loin très supérieure à celle de ce pays qui n’a pourtant pas davantage de cas d’hépatite B que nous. Mais tout le monde semble l’ignorer, Le Figaro méritant la palme à cet égard. Dans le même esprit, en 2004, on pouvait encore entendre le Dr Edwige Antier, qui intervient régulièrement dans les médias, affirmer sur France-Inter que l’hépatite B est une maladie très grave qui menace la population française et que les accidents, dont elle prétend que le lien avec le vaccin n’a jamais été établi, s’élèvent au maximum à 200 cas. Ce genre de mensonge n’a jamais été sanctionné par qui que ce soit, et certainement pas par le Conseil de l’ordre des médecins. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 13:46 | |
| Les pouvoirs publics le savaient Alors que nos pouvoirs publics criaient haut et fort qu’il n’existait aucun accident, ils nous donnaient une autre preuve, encore une, de leur mensonge. Le Parisien du 2 octobre 1998 a publié le fac-similé d’une lettre envoyée à Liliane Larvor, atteinte de polyarthrite rhumatoïde depuis sa vaccination obligatoire pour travailler à la Faculté. La lettre, à l’en-tête du ministère du Travail et des Affaires sociales, est datée du 16 janvier 1996 et signée par François Vareille, sous-directeur des professions de santé. “Au vu du rapport établi par l’expert, le Dr Martin, du centre de pharmacovigilance de Brest, la commission de règlement amiable des accidents vaccinaux lors de sa séance du 9 janvier 1996 a conclu que le lien de causalité entre la vaccination et les troubles observés devait être retenu. “Au vu de cet avis favorable, je vous propose à titre d’indemnisation la somme de 100 000 francs (cent mille francs) en réparation des préjudices de toute nature consécutifs à la vaccination que vous avez subie.” Cette lettre implique une reconnaissance totale et officielle des effets secondaires, dès 1996, et prouve ainsi que de nombreux officiels nous ont menti en affirmant qu’il n’y avait “aucun” effet secondaire grave. Mais la dernière partie de cette lettre est fort intéressante. La somme proposée représente le prix du silence de la victime puisqu’elle doit s’engager à renoncer “à intenter toute action en réparation à raison de ce même préjudice”. Lourdement handicapée, Liliane Larvor a accepté les 100 000 francs. Elle a déclaré au Parisien : “Quand j’ai lu dans les journaux que l’Etat ne reconnaît rien, j’ai été ulcérée”. On peut lire plus loin dans le même article : “Liliane n’est pas la seule à avoir reçu ce type de proposition financière. Le Parisien Aujourd’hui a pu consulter quatre autres dossiers du même type, à en-tête du ministère et reconnaissant une responsabilité vaccinale”. Ainsi, cinq personnes étaient déjà indemnisées à l’époque et il y en a eu d’autres depuis. Ces dédommagements prouvent bien que l’on “savait”, alors qu’on niait toujours et qu’on nie encore. Le Dr Marc Girard, qui fut l’expert nommé par la cour d’appel de Versailles, estime à plus de 80 000 les cas de sclérose en plaques associés à ce vaccin. Il a découvert un rapport de la Direction générale de la santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit “la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974”, alors que tous nos responsables (mais pas coupables) de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Il a ainsi constaté que le centre de pharmacovigilance de Strasbourg est tellement efficace qu’une victime, décédée en 1998, était alors déclarée toujours vivante, et une autre victime aurait été vaccinée deux mois après son décès. De même, 99 % des dossiers de l’enquête auraient été “perdus” en cours d’analyse. Il est certain que, dans le domaine de la santé, les pertes de dossiers s’accumulent, comme c’est aussi le cas dans le scandale de l’hormone de croissance. Le Dr Girard fait aussi remarquer que “ceux qui maintiennent l’intérêt de cette vaccination sont ceux qui, dans les revues épidémiologiques, admettent sans rire qu’il existe une incertitude de 1 à 7 sur les chiffres de la contamination virale.” (Cf. Médecine et Maladies infectieuses, 2003 ; 33). Et il pose la question : “Qui prendrait au sérieux les gens de l’INSEE s’ils venaient nous dire qu’au terme du dernier recensement la population française compte entre 60 et 420 millions de citoyens ?” En 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin, alors que ces deux études, réputées “indépendantes”, furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, à présent Sanofi-Pasteur MSD, et la seconde par Merck - qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.
On trouve l’exemple même du “flou artistique” qui entoure ce problème sur le site actuel de Doctissimo. Dans l’une des versions du site, on peut lire qu’en France, il y aurait environ 100 000 à 150 000 personnes porteuses du virus de l‘hépatite B, alors qu’une autre rubrique affiche que près de 300 000 personnes sont porteuses du virus, et que “L’hépatite virale B est une maladie grave, qui peut évoluer en infection chronique. Ce risque est d’autant plus important que la personne atteinte est jeune. Le germe coupable fait partie des dix virus les plus redoutables du monde.” Doctissimo sera-t-il mis en examen pour “tromperie aggravée”, étant donné que l’hépatite B passe inaperçue la plupart du temps et évolue spontanément vers la guérison dans plus de 95 % des cas et que les sujets sont ensuite immunisés. Parmi les 5 % des autres cas, il n’est pas impossible qu’une hépatite aiguë se manifeste. Or, d’après Panorama du médecin : “L’hépatite aiguë en règle générale est une affection bénigne pour laquelle il n’est pas indiqué (et même contre-indiqué) de prescrire une quelconque médication.” (Cf. n° 4131 - 1995.) La complication la plus grave est l’hépatite fulminante, mortelle dans un cas sur deux, mais ce risque ne concerne que 1 % des cas d’hépatites aiguës, c’est-à-dire un chiffre négligeable par rapport aux effets secondaires du vaccin. Si ce virus est l’un des dix virus les plus redoutables du monde, nous pouvons dormir tranquilles, ce qui n’est pas toujours le cas. On peut ainsi constater, une fois de plus, que le risque est toujours pour le malade, le bénéfice, toujours pour le laboratoire. Il serait donc normal que ce bénéfice, généré par des manoeuvres douteuses, soit parfois grevé par une condamnation. Mais seront-ils lourdement condamnés ? Rien n’est moins certain étant donné leur influence. De toute manière, c’est pour nous l’occasion de constater si notre Justice est vraiment indépendante, ce que nous espérons tous. Sylvie SIMON |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 13:47 | |
| Si après ça quelqu'un est encore pour l'obligation vaccinale, je trouve cela très grave. |
| | | paesyre
Age : 35 Nombre de messages : 947 Date de naissance : 02/09/1988 Date d'inscription : 07/03/2008
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Dim 10 Aoû 2008 - 17:08 | |
| pour l'autisme chez les garçons: c'est une histoire d'hormones qui favorise la bonne santé des filles quand elles sont jeunes (- de 10 - 13 ans). Avec l'adolescence, la ballance s'inverse et le filles risquent plus de problèmes que lee garçons.
boukito: merci pour ton super article. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 17:20 | |
| Personne n'oblige à vacciner contre l'hépatite B. Le seul vaccin obligatoire en France est le DTPolio. Quand à mes chiffres, ils me viennent de mon cours de virologie que j'ai eu en 3ème année de mes études de pharmacie. D'autre part, tes chiffres de décès suite à la vaccination me parraissent erronés quand on sait que les coxibs ont été interdits de vente après trois décès aux Etats Unis, que la pseudoéphédrine a été interdite de vente en France en spécialité non associée après une suspicion de décès suite à la prise de ces molécules.
La presse ne tient malheureusement pas lieu d'études scientifiques: les journalistes sont rarement calés en médecine si je me fie aux bourdes que peuvent faire les journalistes à ce sujet, et la presse est prête à publier n'importe quel pseudo scoop pour faire de l'audimat. Faire confiance à une presse telle que le figaro, le parisien ou libération, prouve bien ta prédisposition à te faire manipuler.
Tu sais, il existe un réseau très efficace appelé pharmacovigilance qui s'occupe de gérer et de répertorier tous les cas de toxicité médicamenteuse. Je travaille en hopital et je fais entre 4 et 5 déclarations de pharmacovigilance par mois. Donc si effectivement tes 500 cas de décès par an étaient réellement dus au vaccin contre l'hépatite B, cela ferait longtemps que le vaccin ne serait plus commercialisé.
En ce qui concerne les vaccins en règle générale, va dire aux paralysés de la polio que ce vaccin ne sert à rien, imagine le nombre de personnes défigurées que tu croiserais dans les rues si la variole n'avait pas été éradiquée par la vaccination! Va expliquer aux jardiniers qui se coupent ou se piquent avec une épine de rosier qu'ils vont mourrir dans les atroces souffrances du tétanos! Va consoler une femme qui vient de perdre son bébé à cause de la rubéole qu'elle a eu pendant sa grossesse!
Réagir comme toi, c'est vraiment faire comme un pauvre enfant gaté qui a grandi dans un pays de riches en ayant toujours tous les soins qu'il pouvait avoir, et toute la nourriture et les médicaments pour grandir sereinement. Pense à tous les enfants qui mourraient de la tuberculose, de la rougeole, de la diphtérie il n'y a pas si longtemps de ça, et ose dire que la vaccination n'est pas un progrès!
Si les enfants non vaccinés ne sont pas malade, c'est justement grâce à la protection que leur offre la couverture vaccinale des autres enfants. Si on stoppe la vaccination, on fera un bon de 100 ans en arrière du point de vue de la santé publique.
Mais comme il me semble que nous sommes dans un véritable dialogue de sourds, reste dans ton ignorance, j'ai dit ce que j'avais à dire et je n'interviendrais plus sur ce sujet. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 18:06 | |
| Mes sources: afssaps.sante.fr/pdf/6/vhbrap.pdfagmed.sante.gouv.fr/htm/10/hepatite/hepatite.htm
| | | | Hépatite B : en pratique, continuer à vacciner les groupes à risques | | | | La vaccination des groupes à risque élevé d'hépatite B a une balance bénéfices-risques nettement favorable. Il existe des arguments en faveur d'une vaccination de masse des nourrissons et des adolescents, mais les mesures d'encadrement mises en place en France sont encore insuffisantes pour une action de santé publique de cette ampleur. | | | La vaccination de masse contre l'hépatite B en France, lancée dans les années 1990 a été très controversée. La revue Prescrire y a consacré une série de synthèses en 1999 et a suivi l'évolution des données depuis. Dans le numéro 253 de septembre 2004, est présentée une synthèse méthodique, mise à jour, des connaissances des effets indésirables généraux des vaccins de l'hépatite B. L'infection par le virus de l'hépatite B (HBV) est une infection contagieuse qui se transmet principalement par voies sexuelle, sanguine, périnatale et dans l'entourage très proche. C'est une infection potentiellement grave dans certains cas, à court terme (hépatite fulminante) et à long terme (cirrhose et cancer du foie). On ne dispose pas, en 2004, de traitement curatif d'efficacité démontrée à un stade précoce de l'infection. Dans les pays de faible endémicité, tels que la France, l'hépatite touche surtout les adultes âgés de 20 ans à 40 ans. Le risque de portage chronique du virus est alors inférieur à 10 %. Dans les pays de forte endémicité (Afrique subsaharienne, Asie, région Pacifique), jusqu'à 20 % de la population est porteuse chronique du virus de l'hépatite B. En France, on dispose de peu de données épidémiologiques récentes. Aucune donnée précise de prévalence n'a été rendue publique à l'occasion d'une conférence de consensus française sur la vaccination contre l'hépatite B qui a eu lieu en septembre 2003 : la prévalence du portage du HBV a été estimée entre 0,2 % et 0,5 %. Quelques données sont en faveur d'une baisse de l'incidence au cours des années 1990 en France Les groupes à risque identifiés restent inchangés depuis les années 1990 : les enfants nés de mère porteuse du HBV ; les professionnels exposés aux liquides biologiques humains ; les personnes exposées aux maladies sexuellement transmissibles ; les usagers de drogues intraveineuses ; les patients susceptibles de recevoir fréquemment des produits dérivés du sang ; les handicapés mentaux et le personnel spécialisé qui s'en occupe ; les personnes incarcérées ; certains voyageurs en zone de forte endémicité, selon la durée, les conditions de voyage, le type d'activité et les risques iatrogènes ; l'entourage très proche d'une personne porteuse du virus ; les enfants originaires des pays d'endémicité élevée. Le risque pour les enfants dont un camarade de classe ou de crèche est porteur du virus fait toujours l'objet de données contradictoires. Par ailleurs, on ne peut exclure formellement un risque de transmission lié aux sports collectifs. D'autres pratiques ont été impliquées dans la transmission de l'hépatite B, évitable par le respect de règles d'hygiène strictes mais simples, notamment les tatouages et piercings, et l'acupuncture. La transmission du HBV par un soignant infecté à un patient est bien documentée, surtout pour les soignants effectuant des gestes invasifs. Dans des pays d'endémicité élevée de l'hépatite B, des programmes de vaccination de masse des nourrissons et des adolescents ont été associés à une diminution de l'incidence de l'hépatite B, du risque de cancer du foie et d'hépatite fulminante aiguë chez les enfants. Lorsque la vaccination initiale contre l'hépatite B est suivie par un taux d'anticorps antiHBs supérieur à 10 mUI/ml, la protection clinique semble se prolonger au moins une dizaine d'années chez les enfants. En pratique, les conclusions de 1999 de la revue Prescrire restent d'actualité. La balance bénéfices-risques de la vaccination contre l'hépatite B est favorable chez les sujets exposés. À l'échelon individuel, il est justifié de proposer une vaccination à toute personne non immunisée qui présente un risque identifié d'exposition au virus de l'hépatite B, quel que soit son âge. Il en est de même pour l'entourage proche de ces personnes. À l'échelon collectif, en France, le maintien de la recommandation d'une vaccination systématique des nourrissons et des préadolescents ne manque pas d'arguments, notamment parce qu'il est illusoire d'espérer identifier la totalité des personnes dont la situation expose à un risque élevé d'hépatite B. Ces stratégies se sont révélées efficaces dans des pays d'endémicité moyenne à élevée. Pour autant, les garanties devant accompagner une stratégie de vaccination de masse, que nous réclamions déjà en 1999, ne sont toujours pas réunies : une pharmacovigilance active, transparente et spécifique, réactive et à l'échelle de l'ampleur du programme, un suivi épidémiologique de l'infection par le HBV et de la couverture vaccinale, une information de la population régulière, adaptée et indépendante des firmes qui commercialisent les vaccins.
©La revue Prescrire 15 septembre 2004 Rev Prescrire 2004 ; 24 (253) : 598-599 (19 références).
COMMUNIQUÉ
Sur la vaccination contre l'hépatite B en France
Pierre Bégué, Marc Girard, Jacques Frottier, François Denis et la sous-commission « Vaccinations ».
Au nom de la Commission VII (Maladies infectieuses et parasitaires)
(12 février 2008)
Une campagne médiatique sur les effets adverses graves de la vaccination contre l’hépatite B se développe à nouveau en France à la suite de la mise en examen des laboratoires producteurs du vaccin. Bien qu’elle concerne leur action publicitaire en 1994, l’accent est mis, par les médias, sur la responsabilité du vaccin dans la survenue de cas de sclérose en plaques (SEP) .
L’Académie de médecine s’inquiète de ces allégations, qui réveillent une fois encore l’inquiétude et les hésitations des médecins vaccinateurs et des personnes à vacciner. Elle rappelle ses prises de positions antérieures, en date du 4 février 1997, du 30 juin 1998 et du 3 décembre 2002. En 2002, déjà, l’évaluation du rapport bénéfices/risques du vaccin faite par l’InVs dans une cohorte d'adolescents et d’adultes à risques montrait que le nombre de porteurs chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires imputés [1].
Depuis cette époque, 8 études nationales et internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B. Une étude publiée en 2004 par Hernan [2] a soulevé des questions mais sa méthodologie a été réfutée par les experts de l’OMS [3,4]. Deux réunions de consensus nationales en 2003 et 2004 ont confirmé les recommandations de vaccination prioritaire des nourrissons et de rattrapage des enfants et adolescents non vaccinés[5,6]. Tout récemment ont été publiées deux études des services de neuro-pédiatrie français (KIDSEP) chez l’enfant et l’adolescent (2007) : la première démontre l’absence d’influence du vaccin de l’hépatite B sur le risque de passage à la SEP après le premier épisode de maladie démyélinisante ; la deuxième montre qu’il n’ y a pas d’augmentation du risque de première poussée de SEP après une vaccination contre l’hépatite B dans les 3 années précédentes [7,8]. L’ensemble de ces résultats a conduit le Haut conseil de santé publique à rappeler les recommandations de la vaccination le 14 décembre 2007[9].
L’Académie de médecine constate que la couverture vaccinale du nourrisson et de l’enfant demeure très faible en France (25%), contrairement aux autres pays européens et du continent nord-américain. En 2003-2004 on observait 600 nouveaux cas d’hépatite B annuels, dont la moitié aurait pu être évitée si les recommandations de vaccination avaient été suivies, et l’on estimait à 280000 le nombre de porteurs de l’Ag HbS en France [10]. Les craintes actuelles à l’égard de la vaccination, injustifiées, vont encore aggraver cette situation. L’Académie nationale de médecine affirme à nouveau l’importance de la vaccination contre l’hépatite B, souligne la cohérence en terme d’efficacité et de sécurité des recommandations de vaccination contre l’hépatite B des nourrissons avec rattrapage jusqu’à 13 ans, rappelle les données scientifiques montrant son absence d’imputabilité dans la SEP chez les enfants et les adolescents et insiste sur le risque qu’il y a, pour la France, à laisser persister une protection aussi faible contre cette redoutable maladie.
Références 1. Lévy-Bruhl D, Desenclos JC, Rebière I, Drücker J. Central demyelinating disorders and hepatitis B vaccination: a risk benefit approach for the pre-adolescent vaccination in France. Vaccine 2002; 20: 2065-71.
2. Hernán M.A, Jick S.S, M.J. Olek , Jick H. Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis . A prospective study. Neurology 2004; 63: 838–42
3. Naismith R.T, Cross A.H. Does the hepatitis B vaccine cause multiple sclerosis? Neurology 2004;63:772–773
4. Comité consultatif mondial de l'organisation mondiale de la santé sur la sécurité des vaccins: réponse à l'article de Hernan et al. intitulé "vaccin hépatite B recombinant et risque de sclérose en plaques" et publié le14 septembre 2004 dans la revue Neurology. OMS. Hépatite B. GACVS.
www.who.int
5. Réunion de consensus: vaccination contre le virus de l’Hépatite B. 11 et 12 septembre 2003. Paris.
www.inserm.fr
6. AFSSAPS, ANAES, INSERM.Audition publique .Vaccination contre le virus de l’Hépatite B et sclérose en plaques. Etat des lieux. Paris 9 novembre 2004. Rapport.
www.inserm.fr
7. Mikaeloff Y, Caridade G, Assi S, Tardieu M., Suissa S, on behalf of the KIDSEP study group of the French Neuropaediatric Society. Hepatitis B vaccine and risk of relapse after a firstchildhood episode of CNS inflammatory demyelination . Brain 2007 ;130 :1105-10.
8. Mikaeloff Y, Caridade G, Rossier M, Suissa S, Tardieu M.Hepatitis B Vaccination and the Risk of Childhood-Onset Multiple Sclerosis. Arch Pediatr Adolesc Med. 2007;161:1176-82.
9. Haut Conseil de la santé publique Avis relatif aux recommandations de vaccination contre l’hépatite B en France. 14 décembre 2007. Avis du HCSP.
www.hcsp.fr
10. Antona D, Delarocque-Astagneau E, Lévy-Bruh D. Déclaration obligatoire des hépatites B aiguës : résultats de la première année de surveillance, France, 1er mars 2003-1er mars 2004. Bull Epidemiol Hebd. 2005; 31: 157-160.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 18:13 | |
| Article de L'Oms:
Questions et réponses relatives à l'étude sur le vaccine recombinant contre l'hépatite B et le risque de sclérose en plaques publiée par Hernán et al. Dans la revue Neurology, 2004
Pourquoi reparle-t-on de l'association entre vaccination hépatite B et sclérose en plaques? Le rôle éventuel de la vaccination contre l'hépatite B dans la survenue d'une sclérose en plaques (SEP) est à nouveau discuté parce qu'une nouvelle étude vient d'être publiée (Hernán et al, Neurology 2004) et qu'elle relance les interrogations posées il y a une dizaine d'années.
En quoi consiste cette nouvelle étude? Cette étude rétrospective a utilisé le registre de médecins généralistes anglais (GPRD) pour rechercher tous les patients adultes avec une SEP et comparer les vaccins qu'ils avaient reçus au cours des années précédentes avec ceux reçus par des patients adultes contrôles sans SEP. Parmi 713 patients avec une suspicion de SEP, 275 ont été éliminés parce que leur diagnostic de SEP était erroné ou incertain, leurs dossiers incomplets ou leur suivi interrompu par un décès. Les dossiers des 438 patients restant ont été analysés pour déterminer la date des premiers symptômes de SEP et les auteurs se sont concentrés sur 163 patients suivis depuis au moins trois ans dans le GPRD avant la date présumée de leurs premiers symptômes. En analysant ces 163 dossiers, les auteurs ont observé que la majorité des patients (152/163, 93.3%) n'avaient pas été vaccinés contre l'hépatite B. La petite proportion de patients vaccinés contre l'hépatite B (11/163, 6.7%) était cependant trois fois plus élevée (OR 3,1; IC95 1,5 - 6,3) que chez les sujets contrôles (39/1604, 2.4%). Si cette observation était représentative, elle pourrait donc indiquer un rôle de la vaccination hépatite B dans la survenue d'une SEP.
En quoi cette étude diffère-t-elle des études précédentes? Toutes les études ont des particularités susceptibles d'aboutir à des résultats éventuellement différents. Une particularité de l'étude de Hernán est d'avoir utilisé les dossiers médicaux constitués par les médecins généralistes, alors que les autres études se sont fiées aux indications des patients pour relever leurs vaccinations et le début des symptômes de SEP. Il suffirait par exemple que certaines vaccinations ne soient pas indiquées dans les dossiers des médecins généralistes pour que les résultats soient faussés. Une autre limitation est que la vaccination hépatite B est seulement recommandée en Angleterre pour certains groupes à risques (professionnels de santé, voyageurs en région d'endémie, patients avec atteinte hépatique ou rénale, prostituées et toxicomanes) qui pourraient ne pas être représentatifs des populations inclues dans les autres études. Les auteurs ont dû éliminer beaucoup de dossiers incertains ou incomplets, ce qui a réduit le nombre de leurs observations à un tout petit nombre de patients (seulement 11 ayant reçu le vaccin contre l'hépatite B). Il suffirait d'une erreur dans le statut vaccinal et les dates de vaccination ou de début de symptômes chez un tout petit nombre de patients pour que l'étude de Hernán conclue, comme les études précédentes, à l'absence de corrélation entre vaccination hépatite B et SEP. Une autre différence est le fait que l'étude de Hernán considère une période de risque plus longue (trois ans) allant au delà de la période suggérée par les données de pharmacovigilance françaises.
Cette étude suggère-t-elle que la vaccination contre l'hépatite B pourrait accélérer la survenue d'une SEP chez certains patients prédisposés? Non, les résultats de l'étude de Hernán ne suggèrent pas que la vaccination puisse accélérer la survenue d'une SEP. D'une part, l'âge moyen lors du premier symptôme de SEP était similaire même chez les sujets vaccinés et les sujets non vaccinés contre l'hépatite B. D'autre part, la proportion des patients ayant développé une SEP dans les 12 mois après vaccination était comparable à celle des sujets contrôles (1,8% et 1,0%, respectivement). La seule différence apparente concerne donc la période s'écoulant entre 12 et 36 mois après vaccination. Cette étude est donc en accord avec toutes les autres études n'ayant pas identifié de risque accru de développer une SEP dans l'année suivant une vaccination hépatite B comme cela avait été suggéré par les données françaises de pharmacovigilance.
Cette étude suggère-t-elle que la vaccination contre l'hépatite B pourrait causer une SEP? L'étude de Hernán présente des limitations qui ne permettent pas d'étendre ses résultats à la population générale : elle repose sur l'analyse d'un très petit nombre de patients vaccinés (11) présentant des facteurs de risques pour une hépatite B. La présente étude contraste avec les conclusions de multiples autres études et comités d'experts qui ont conclu à l'absence de lien entre la SEP et la vaccination contre l'hépatite B. Bien qu'il puisse y avoir les problèmes méthodologiques dans certaines des autres études, nous devons considérer l'étude de Hernán dans le contexte de l'ensemble des autres études négatives.
Est-ce que les résultats de cette étude sont en accord avec ceux des autres études? Non. Aucune des nombreuses études précédentes n'a mis en évidence d'augmentation significative du risque de SEP après vaccination contre l'hépatite B. L'étude de Hernán doit donc être considérée comme une pièce de puzzle inattendue dans un ensemble de données soutenant la sécurité de la vaccination contre l'hépatite B.
Est-ce que la différence entre cette étude et les études précédentes pourrait refléter la méthodologie utilisée? Afin de déterminer si les résultats inattendus de cette étude s'expliquent par la méthodologie utilisée, le CDC a appliqué la même méthodologie aux données d'un grand registre américain (VSD), en utilisant soit les données médicales, soit les données fournies par les patients (De Stefano F, 20th International Conference on Pharmacoepidemiology, Bordeaux, August 2004). Leurs observations confirment que les dossiers médicaux ne contiennent souvent qu'une partie des informations dont disposent les patients, en particulier en ce qui concerne leurs vaccinations ! Cette étude américaine analysant les dossiers de 276 patients et 599 témoins appariés n'a identifié aucune corrélation entre la vaccination hépatite B et la survenue d'une SEP, et ce à aucun moment dans les cinq années suivant la vaccination. Ces données renforcent la suspicion de l'existence de facteurs de confusions dans l'étude de Hernán, y compris la vaccination de sujets à risques, l'analyse de données médicales peut-être non exhaustives et le petit nombre de patients retenus.
Quels sont les résultats de cette étude en ce qui concerne les autres vaccins? En suivant la même approche que pour la vaccination hépatite B, Hernán et collaborateurs ont trouvé la même proportion de patients (6,1%) et de contrôles (6,0%) vaccinés contre la grippe au cours des trois ans précédents. Ceci est en accord avec les autres études ayant montré qu'il n'y a aucune influence de la vaccination contre la grippe sur la survenue d'une SEP. Ils ont observé que la proportion de patients vaccinés contre le tétanos (11,7%) au cours des trois ans précédents était significativement plus faible que celle des contrôles (17,4%). Les limitations de l'étude ne permettent cependant pas de suggérer que la vaccination contre le tétanos pourrait avoir un effet protecteur sur la survenue d'une SEP.
Si les résultats de cette étude étaient représentatifs, quelle en serait l'hypothèse biologique? Si les résultats de cette étude étaient représentatifs de la population générale, il faudrait trouver une hypothèse compatible avec une augmentation du risque de SEP entre 12 et 36 mois après vaccination de sujets adultes contre l'hépatite B. Cet intervalle de temps n'est pas compatible avec un effet non-spécifique, observé dans les semaines après une vaccination, des vaccins ou de leurs adjuvants. Il faudrait donc imaginer un rôle causal de l'antigène HBsAg, mais ceci est rendu improbable par l'absence d'association entre infection hépatite B et SEP. Le rôle potentiel de l'aluminium/du thiomersal contenus dans le vaccin hépatite B est démenti par l'absence d'influence des vaccins tétanos et influenza dans la même étude. Ainsi, il n'y a actuellement pas d'hypothèse biologique susceptible d'expliquer les observations de cette étude.
Si les résultats de cette étude étaient représentatifs, est-ce que cela accuserait les adjuvants ou les additifs contenus dans les vaccins contre l'hépatite B? Non. Si les résultats de cette étude étaient représentatifs de la population générale et indiquait un risque accru de SEP entre 12 et 36 mois après vaccination, on ne pourrait pas attribuer ce risque à l'aluminium ou au thiomersal puisque ces composants sont aussi présents dans les vaccins tétanos et influenza, qui ne sont pas identifiés comme augmentant le risque de SEP dans l'étude de Hernán ni dans aucune des études précédentes.
Si les résultats de cette étude étaient représentatifs, quel serait le risque maximal pour la population vaccinée contre l'hépatite B? Si les résultats de cette étude étaient représentatifs de la population générale, on devrait s'attendre à ce que le risque de développer une SEP dans les trois ans après la vaccination hépatite B de sujets adultes puisse augmenter de 3,1 fois, passant par exemple de 1 patient /100000 à 3 patients/ 100,000 environ. Mais les limitations de cette étude et les données de sécurité vaccinale accumulées à travers le monde indiquent que ce scénario n'est pas probable.
Les résultats de cette étude vont-ils entraîner des modifications dans les recommandations de vaccination contre l'hépatite B? Ni les auteurs de l'étude, ni l'éditorial qui l'accompagne, ne remettent en cause l'importance de la vaccination contre l'hépatite B. Les résultats préliminaires de cette étude ont déjà été présentés publiquement il y a plus d'un an. Bien qu'il soit trop tôt pour que les autorités de santé se soient déjà prononcées, aucune n'a fait part de la moindre intention de modifier ses recommandations de vaccination contre l'hépatite B, dont la réalité médicale est bien supérieure à celle d'un risque théorique non démontré. Il est important de noter que quelles que soient les explications aux résultats de l'étude de Hernán, cette étude concerne exclusivement la vaccination des sujets adultes à risques d'hépatite B. Les données accumulées depuis 20 ans ont formellement démontré la sécurité de la vaccination hépatite B chez les nouveaux-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 18:20 | |
| Même le Figaro (pour rester dans le même genre de presse que tes articles) a publié un article sur l'absence de risque de la vaccination contre l'hépatite B! (article du 12 février 2008)
Une nouvelle étude française souligne l'absence de lien entre la vaccination contre l'hépatite B chez l'enfant et la sclérose en plaques.
Tout récemment, deux représentants de l'industrie pharmaceutique ont été mis en examen dans l'affaire du vaccin contre l'hépatite B et le risque de sclérose en plaques, relançant le débat sur cette question. Pourtant, en décembre dernier, des médecins français ont publié, dans la revue Archives of Pediatrics une nouvelle étude concluant que chez l'enfant, il n'existe pas de lien entre cette vaccination et la sclérose en plaques. Réalisée sous la houlette du professeur Marc Tardieu de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, elle a concerné la majorité des enfants ayant déclaré une sclérose en plaques en France entre 1994, date de la campagne de vaccination massive lancée par le gouvernement de l'époque, et 2003. «C'est la première fois que ce type d'étude est effectué chez des enfants souligne Marc Tardieu, et le résultat est clair : parmi les 143 cas recensés, la vaccination contre le virus de l'hépatite B n'était pas associée à un risque plus important de déclarer la maladie.» Les auteurs ont repris la même méthodologie (dite cas-témoin) utilisée par une autre grande étude effectuée en 2004 chez l'adulte, la seule à avoir suggéré un risque accru, mais arrivent en l'appliquant chez l'enfant à une conclusion opposée. En 2007, l'équipe française avait montré que cette vaccination chez des enfants déjà atteints de sclérose en plaques n'avait aucun effet sur l'évolution de la maladie. «Ces travaux confirment une dizaine d'études sur le sujet et ce que pensent déjà les spécialistes de la sclérose en plaques», commente le professeur de neurologie Christian Confavreux, membre du comité médico-scientifique de l'Association pour la recherche contre la sclérose en plaques (Arsep). «Des dizaines de millions de personnes ont maintenant été vaccinées contre le virus de par le monde, et plus un seul pays ne se pose ce type de question sauf nous. Plus les études sont approfondies, plus cette vaccination apparaît sans rapport avec le déclenchement ou la progression de la maladie. Des coïncidences accumulées avec le nombre ne font pas une causalité.»
Immunité de très longue durée Dans les pays en voie de développement, le virus de l'hépatite B est la deuxième cause identifiée de décès par cancer, après le tabac. En France, il fait près de 1 500 victimes chaque année selon les chiffres officiels. En 1994, suite aux recommandations de l'OMS, le gouvernement français avait lancé une vaste campagne de vaccination des nourrissons et des élèves de 6e. Vacciner en bas âge induit une immunité de très longue durée, peut-être à vie contre le virus et permet de toucher toutes les couches sociales. La vaccination des collégiens était un rattrapage destiné à compléter la couverture vaccinale contre une infection sexuellement transmissible. En 1998, alors que des soupçons planaient encore d'un possible effet aggravant de la vaccination sur la sclérose en plaques, le ministre de la Santé, Bernard Kouchner, décide de suspendre celle proposée chez tous les collégiens. «La couverture vaccinale chez les pré-ados était à l'époque proche de 80 %,» précise Daniel Lévy-Bruhl, responsable du département vaccinations à l'Institut de veille sanitaire (InVS), «ce qui fait que nous observons actuellement une chute des cas d'hépatites aiguës chez les jeunes adultes. La couverture vaccinale des pré-ados est aujourd'hui inférieure à 40 % et nous risquons de voir augmenter le nombre de ces cas dans les nouvelles générations.» Et cela d'autant plus que la vaccination des nourrissons stagne toujours au-dessous de 30 %, alors qu'elle dépasse les 90 % chez nos voisins européens et en Amérique du Nord. «Contrairement à la vaccination chez l'adulte, il n'y a jamais eu de doutes quand à l'innocuité de la vaccination chez le nourrisson, conclut Daniel Lévy-Bruhl, et elle a été recommandée par la très grande majorité des autorités sanitaires depuis 1995 : il serait temps de l'appliquer.» |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 18:26 | |
| Bon je m'arrête là, et puis après tout, c'est bien connu: The truth is out there Et Trust No One! Sur ce, sans rancune! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 21:11 | |
| Bon parlons technique au lieu de s'insulter d'enfant gaté car si non ça risque de mal finir. Déja tu es en étude de pharmacie et tu te permets de m'insulter... tu vas donc insulter tes futures clients? Be noui les cons tu es la pro donc tu détiens la vérité absolue? A propos de future client, une petite question? Tu as dis que l'hépatite B se transmettait par la salive? Qu'elle est donc avis perso sur la question car je n'ai pas envie de relire pour la centième fois cette article de l'OMS. Visiblement tu es moins sur de toi. Pour les vraies obligations , tu utilises à nouveau la propagande des laboratoires en combinant plusieurs vaccin en un: Voila la vraie obligation: A savoir que le BCG n'est plus obligatoire depuis le 1 juillet 2007 sauf pour certaiens professions. A savoir que l'hépatite B reste obligatoire pour certaiens professions. A ce niveau de la conversation tu as déja dis 2 grosses conneries. Maintenant qui est le plus crédible entre nous deux. Toi qui fait partie d'un système visant à vous manipuler pour ensuite manipuler ou moi qui n'ai aucun intéret financier dans la question? On voit qu'à ce niveau que la médecine généraliste n'est devenu qu'une histoire de commerce. Tu parles de manipulation de médecines parallèles???? As tu déja regardé la bourse et observé les marges bénéficiaires d'un groupe comme Sanofi Pasteur? Regardes la 15 pour oberserver la bourse en fonction des nouveaux vaccins sur le marché. Sais tu au moins que des familles de victimes ont été acheté pour garder le silence quand elles n'ont pas été ruinées dans des procès interminables? Sais tu qu'il y a en moyenne 10 fois plus de victimes déclarées des vaccins dans les autres pays qu'en France. Pour la variole et les autres maladies tu changes de sujet? N'aurais tu plus d'argument pour défendre ce vaccin? Pour information, ton organisme de référence qui est l'OMS a, pour un simple exemple, déclaré en 1962 que le vaccin contre la tuberculose serait inefficace voir dangereux. Son obligation a été maintenue même pour les enfants avec des difficultés respitratoires jusqu'en 2007. Veux tu encore des exemples? Je ne détiens pas la vérité mais au moins je ne dis pas une erreur dans chacune de mes phrases. A propos d'enfant gaté, j'ai beaucoup souffert des effets secondaires d'un médicament interdit peu de temps après mon utilisation et j'ai eu une grave infection oseuse que seul mon système immunitaire a pu réguler. Je n'en veux pas à la médecine mais par contre je suis fatigué d'entendre toujours le même discours en faveur des laboratoires. En Afrique, les enfants sont vaccinés à plus de 80%. Ils sont peu être gatés eux aussi? Bien sur je ne parles pas des associations de victimes des vaccins parfois accusés de sectes. Voila le pays des droits de l'homme. Ma fois continus dans ton école de commerce en médicament. Sans rancune. Une dernière chose, je connais en général bien les sujets que j'aborde donc la prochaine fois fais attention à ce que tu dis car la ça fait beaucoup entre le mode de contmiantion et les obligations vaccinales. Quand aux milliers de médecins qui ont déclarés leur méfiance envers les vaccins et parfois révoqués de l'ordre des médecins, tu pourras dire tout ce que tu veux mais au moins ils n'ont pas manqué de courage. Un petit livre que tu pourras montrer à tes profs. Il a justement été écrit par des médecins et ne coute que 5 euros: |
| | | Pikinette Modérateur
Age : 41 Nombre de messages : 3612 Date de naissance : 16/02/1983 Emploi : Infirmière Date d'inscription : 14/11/2007
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Lun 11 Aoû 2008 - 21:31 | |
| - Citation :
- L'hépatite B se transmet principalement par la salive!
L'hépatite B se transmet principalement par voie sexuelle ou sanguine, c'est pour ça que certaines professions comme la mienne sont obligées d'être vacinées (heureusement je pars en libéral, je pourrais faire comme bon me semble). Ensuite les risques de slérose en plaque liées au vaccin ... ils sont bien réels. La plupart des professionnels de santé les ont constatés. A mon ancien travail, si l'on refusait le vaccin on était jugées inaptes donc incapable de poursuivre notre travail ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 12 Aoû 2008 - 13:56 | |
| Je cite, extrait du site de l'OMS: "L'hépatite B est transmise par contact avec le sang ou les liquides biologiques d'une personne infectée, à l'image du virus de l'immuno-déficience humaine (VIH), qui est responsable du SIDA. Par contre, le virus de l'hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que celui du SIDA. Les principales voies de transmission de l'infection sont:
- La transmission de la mère à l'enfant à l'accouchement.
- La transmission d'enfant à enfant.
- Les injections et les transfusions à risques.
- Les contacts sexuels."
Pour toi la salive est quoi à part un liquide biologique? Et comment peuvent se faire les transmissions d'enfant à enfant autrement qu'avec la salive? Par voie sexuelle? Par utilisation d'aiguilles souillées? Et quand à l'obligation vaccinale, je maintiens que seul le vaccin DTPolio est obligatoire pour les enfants, tu dis toi même que le BCG n'est plus obligatoire! Et sauf avis contraire le vaccin contre l'hépatite B n'est pas encore obligatoire! Donc révise un peu le sens du mot "connerie" et après toi aussi tu paraitras plus crédible, car niveau "technique" comme tu dis, tu sembles pas aussi bien calé que tu veux bien le dire! De plus tu sembles donc bien placé pour savoir qu'un médicament responsable d'effets indésirables graves est aussitôt retiré du marché! Après, libre à toi de croire à la conspiration du corps médical contre les patients, si ça te permet d'être heureux dans ta vie, tant mieux! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 12 Aoû 2008 - 14:01 | |
| Aller juste pour le plaisir, un extrait d'un site que tu ferais bien d'aller consulter:
4. La transmission horizontale
La transmission de l'hépatite B est possible par la salive, la sueur, les larmes, l'urine.
Elle peut se faire à partir d'objets usuels (rasoir, brosse à dent, couteau, etc.) au sein d'une même famille ou dans le cadre d'un habitat collectif. D'où la nécessité de vacciner l'entourage d'une personne infectée.
Bien que le mécanisme ne soit pas bien connu, on pense que la transmission du virus de l'hépatite B se fait par le sang ou les liquides biologiques qui entrent en contact avec la peau lésée par des blessures, des piqûres d'insectes, l'impétigo, la gale, etc. La blessure par morsure peut être également en cause. Et voilà le lien: http://www.devsante.org/IMG/html/doc-10910.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 12 Aoû 2008 - 14:09 | |
| Comme tu as un peu de mal à comprendre, je doute qu'un seul article te suffise, je me permet donc d'enfoncer le clou:
modes de transmission D'après les estimations de l'Organisation mondiale de la santé, 2 milliards de personnes sont infectées par le virus de l'hépatite B, dont 350 millions sont porteurs chroniques du virus. Ces derniers présentent un risque important de déclarer un jour une cirrhose ou un cancer du foie. Au moins 1 million en meurent chaque année.
Dans les zones de haute endémicité, telles que l'Afrique et l'Asie du Sud-Est, 70 à 90% de la population présentent des marqueurs du virus de l'hépatite B et plus de 8% de la population sont des porteurs chroniques (présence de l'antigène de surface de l'hépatite B = HBS).
Les zones d'endémicité moyenne sont le Moyen-Orient, l'Amérique Centrale et l'Amérique du Sud. On observe entre 2 et 7% de porteurs chroniques et 20 à 55% de personnes présentant des marqueurs du virus.
Dans les zones d'endémicité faible, telles que l'Amérique du Nord, l'Europe occidentale et du Nord, le taux de porteurs chroniques est inférieur à 2% et la présence des marqueurs du virus se retrouve chez moins de 20% de la population.
Modes de transmission du virus de l'hépatite B : La transmission du VHB s'explique par : * la longueur de la phase d'incubation (2 à 6 mois), le sang étant infectant dans la seconde partie de cette phase * le très haut titre infectieux du sang (0,0001ml de plasma peut transmettre le VHB) ; - - le grand nombre de porteurs asymptomatiques * la présence du virus dans tous les liquides biologiques : liquide séminal (sperme), secrétions vaginales, sueur, larmes, salive, urine (alors que l'infectiosité des selles est négligeable) * la fréquence de l'inoculation inapparente.
Le virus de l'hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que le VIH.
La transmission parentérale : La transmission du virus de l'hépatite B par voie parentérale existe dans toutes les zones d'endémie. Les sources d'infection sont le sang, les produits sanguins et dérivés, ainsi que le matériel souillé. L'hépatite B constitue l'une des infections professionnelles les plus importantes dans les professions médicales et paramédicales.
La transmission sexuelle : La présence du VHB dans le liquide séminal et les sécrétions vaginales explique que l'hépatite B soit une maladie sexuellement transmissible. Elle survient lors du contact avec des muqueuses fragiles, du sperme, des sécrétions vaginales ou des menstruations des porteurs du virus de l'hépatite B.
Le risque d'infection augmente avec le nombre de partenaires sexuels, le nombre d'années d'activité sexuelle et la présence ou non d'autres maladies sexuellement transmissibles.
La transmission se fait soit par des sujets atteints d'infections aiguës, soit par des porteurs chroniques, mais la plupart du temps, ces infections sont transmises par des personnes hétérosexuelles ou homosexuelles qui ignorent leur état d'infection.
La transmission périnatale : La transmission périnatale ou verticale, qui se fait d'une mère infectée vers son enfant, est la voie la plus redoutable car, parmi les personnes en contact avec le virus, ce sont les nouveau-nés qui présentent le risque le plus important de devenir des porteurs chroniques. Près de 95% des transmissions périnatales se font lors de l'accouchement et du post partum. Ainsi, les mères AgHBe positives transmettent le virus de l'hépatite B dans 70 à 90% des cas. Au moins 90% de ces enfants seront des porteurs chroniques.
La transmission horizontale : La transmission de l'hépatite B est possible par la salive, la sueur, les larmes, l'urine. Elle peut se faire à partir d'objets usuels (rasoir, brosse à dent, couteau, etc.) au sein d'une même famille ou dans le cadre d'un habitat collectif, d'où la nécessité de vacciner l'entourage d'une personne infectée.
La surveillance : La surveillance de l'infection par le virus de l'hépatite B est nécessaire pour déterminer la prévalence, l'incidence (les nouveaux cas), afin de définir des priorités et d'élaborer des stratégies de lutte appropriées.
La surveillance doit permettre aux responsables de la santé d'évaluer les éventuelles épidémies.
Le contrôle de l'infection par le VHB : Il consiste en l'information du personnel de santé, des décideurs et du public sur les dangers de l'infection par le VHB.
Certains comportements favorisent la transmission du VHB et d'autres maladies sexuellement transmissibles. Il s'agit en particulier de l'utilisation des drogues par injection IV, des rapports sexuels non protégés, de la pratique de tatouages et de l'acupuncture avec des instruments non stériles ou mal stérilisés.
Une prévention efficace est fonction du niveau d'information sur le VHB, ses modes de transmission et ses conséquences.
Parallèlement à ces mesures, la vaccination doit être encouragée.
Alors d'après toi, lequel de nous deux dit des conneries? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 12 Aoû 2008 - 14:19 | |
| Ah, et au fait, une dernière chose, moi aussi je connais en général bien les sujets que je défend: je ne m'étais trompée ni sur le mode de transmission, ni sur les obligations vaccinales, donc toi aussi fais attention à ce que tu dis: les pharmaciens sont pas si cons et aveuglés par l'argent que ce que tu penses |
| | | paesyre
Age : 35 Nombre de messages : 947 Date de naissance : 02/09/1988 Date d'inscription : 07/03/2008
| Sujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Mar 12 Aoû 2008 - 17:51 | |
| Ce forum devient vraient pourri par des vendeurs de poisons, qui cherchent à se remplir les poches et celles de leurs confrères. Si ça continue, je vais délaisser ce forum et m'en faire un.
Tu reproche à Boukito de sortir des articles du figaro, pas de chance, ces articles ne viennent pas du figaro, et je les ai moi même lus il y a quelque temps. | |
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| | | | Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) | |
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