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 Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)

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MessageSujet: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 0:39

Je ne veux pas repolémiquer sur l'efficacité des vaccins qui reste encore à démontrer ou sur leur dangerosité mais je souhaite faire une mise en garde.

D'après ce site:

http://www.verites.org/categorie-1218881.html


Le vaccin hexavalent (DTCoqPolio + Hémophilus + Hépatite B), destiné aux nourrissons est remboursé depuis le mardi 1er avril 2008



Voici une information extrêmement importante, à faire circuler massivement (Information vérifiée et validée).



« C’est-à-dire que les nourrissons vont être vaccinés contre l'hépatite B sans que la plupart de leurs parents le sachent. L'inclusion du vaccin "contre" l'hépatite B dans un kit polyvaccinal, fera passer la pilule en douceur. Le médecin prescripteur n'aura même plus besoin de prononcer le mot qui fâche (hépatite B), il prescrira "InfanrixHexa" et le tour sera joué. Le Ministère espère bien sûr par cette technique astucieuse*, augmenter la couverture vaccinale contre l'hépatite B dans notre pays, couverture qui plafonne aux alentours de 30 % malgré tous les messages de réassurance sur l'innocuité de ce vaccin. Quelques mois ou années plus tard, les parents découvriront avec stupeur que leur nourrisson a été vacciné contre l'hépatite B sans qu'ils l'aient su. Des enfants risquent de plus de recevoir deux fois le vaccin contre l'hépatite B, une fois avec cet Hexavac (qui ne dit pas son nom) et une autre fois de façon séparée, si les parents vont voir un autre médecin qui ne fait attention et ne voit que la case du vaccin anti-hépatite B dans le carnet de santé, qui est restée vide.

De plus, le calendrier vaccinal actuel recommande de réaliser le même jour, en un site différent, le vaccin "Prévenar", comportant sept valences de pneumocoques.

C'est donc 6 + 7 = 13 vaccins que l'on se propose de faire le même jour, à un nourrisson de 2 mois


Je rappel que l'hépatite B se transmet par voir sexuelle ou par le sang contaminé (laboratoire travaillant à l'époque pour Sanofi Pasteur).
Un nourrisson ne peut donc pas être contaminé sauf par le sang lors d'une transfusion.
Rien ne prouve l'efficacité de ce vaccin.
Les laboratoires ont recemment été condamnés pour pour avoir inciter une population non à rique à se faie vacciner par le mensonge.
Lors d'une contamination par l'hepatite B, il y a des signes cliniques que dans 1 % des cas.
Beaucoup pense que l'hepatite B est une maladie qui a pris de lempleur à cause des vaccins eux même.
De nombreux livres ont été écrits uniquement sur ce vaccin car c'est l'un des plus dangereux.
Les laboratoire disent qu'il faut vacciner les enfants car la myeline de leur cerveau n'est pas encore formé et qu'il n'y a donc pas d risque.
Drole d'information quand o nsait que l'autisme a été multiplié par 10 en 10 ans aux USA.

Chacun doit fair son choix mais ne croyez jamis votre médecin, regardez vous même la composition du vaccin.
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paesyre

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 1:40

Tu parle de l'autisme, les chiffres en Angleterre étaient de 1 enfants sur 80 en l'an 2000. Je n'ai pas les chiffres plus récents, mais ça augmente beaucoup. En France la situation est à peu près égale.

Concernant le vaccin de l'hépatite B, les fabricant sont mis en examen pour tromperie agravée.

Je cite quelques lignes qui sont parues dans le biocontact d'avril:
Citation :

[....] Le porte parole du laboratoire Sanofi Pasteur MSD a affirmé que toute cette histoire était uniquement «franco-française».
[...]
Seuls trois pays ont vacciné en masse: la France, les Etats-unis et l'Italie où le ministre Italien de la santé a touché 600 millions de lires quelques mois avant qu'il ne rende la vaccination obligatoire dans son pays. Il a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme.
[...]
entre 1999 et 2002, chez les enfants de moins de 6 ans,chez lesquels il n'existe officiellement «aucuns problème» en France, le Vaers (un organisme qui compte les complications vaccinales) a enregistré 13 363 accidents, dont 1 850 hospitalisations et 642 décès pour ce vaccin. On pourrait être affolé par ces chiffres, mais une étude démontre que «seulement 1% des accidents graves lui étaient reportés».

Bon j'espère que je vous ai pas fait trop peur, et que je n'ai pas été trop long; mais connaissant les risques, je ne voulais pas vous laisser ignorants.
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http://equi-nat.fra.co/
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 2:26

1 sur 80 tu dois te tromper c'est pas possible ou alors c'est complètement fou. Shocked

En France les vaccins provoquent 100 fois moins d'effets secondaires que dans les pays ou les vaccins ne sont pas obligatoires.
On a trop de la chance.

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 2:33

A non j'ai vérifié, on parle de 1 sur 300 quelques années avant 2000. Donc le chiffre de 1 sur 80 est possible.

Pourquoi personne n'en parle?

C'est monstrueux comme chiffre.

http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=7971

Il y a pas un vaccin contre l'autisme à base d'aluminimum? Razz
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Shaïtan

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 10:12

Whoua dis donc!!!!!!! Je travaille auprés d'adultes autiste mais n'avais pas eu connaissance de tels chiffres!!!!!! Aprés il faut être prudent avec cette maladie car n'ayant actuellement aucune certitude sur son origine, on la met comme conséquence à de nombreuses affections et origines diverses.........le moindre souci pendant une grossesse et votre enfant sera autiste!!! du coup plus ça va plus une psychose s'installe par rapport à ça.....en même temps ça a progréssé car avant on mettait cela sur le compte de la relation mère/ enfant et on faisait culpabiliser la mère++++

http://autisme.france.free.fr/docs/f7.htm
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Shaïtan

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 10:16

http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=7971


Mais cet article est quand même super intéréssant je vais de ce pas le lire à mon travail!! par contre ça n'explique pas pourquoi la majorité des enfants atteint d'autisme sont des garçons...
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeSam 9 Aoû 2008 - 15:34

L'hépatite B se transmet principalement par la salive! Donc une cuillère prétée et hop, hépatite B, les enfants qui bavouillent partout en crèche: magnifique voie de transmission! Sans parler des baisers à l'adolescence!

Quand tu parles de 1% de signes cliniques, tu te trompes, et de beaucoup! La phase aiguë de la maladie est insymptomatique dans 90% des cas, mais la maladie reste là, le malade continue à être contagieux pour les autres, et dans 1 cas sur 10 après plusieurs années il peut y avoir évolution en cirrhose, voire en cancer du foie.
D'autre part, il existe 1% de formes appelées fulminantes avec coma d'emblée et décès en quelques jours, le seul traitement étant une greffe de foie en urgence.
L'hépatite B est donc une maladie qui n'est absolument pas à prendre à la légère: elle cause entre 1 et 2 millions de morts par an dans le monde!

La seule prévention est la vaccination, et à ce jour aucune étude scientifique sérieuse n'a fait le lien entre le vaccin de l'hépatite B et l'apparition de maladies mentales.

Alors quand j'entend parler de conspiration en ce qui concerne l'hépatite B, excusez moi mais ça me met hors de moi!
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 12:48

C'est totalement faux, l'hépatite B peut se transmetre en théorie par la salive mais seulement en théorie car les cas de contamination par la salive sont extrememnt rares voir totalement inconnu.

C'est ce qui a fait polémique pour cette maladie car la tu rabaches la campagne d'information qu'il y a eu il ya plusieurs années.

Saches que les laboratoires ont été condamnés par la justice pour ces propos car à l'heure d'aujourd hui aucun étude n'a prouvé que l'hépatite B pouvait se transmettre par la salive et ça c'est la conclusion des experts.

Pour les chiffres, je ne vais pas te contredire, tu as tes chiffres, j'ai les miens. Personnellement je ne suis pas allé vérifier et toi non plus.

Par contre qui te dis que le vaccin est efficace?

Une chose est sure, il est très dangereux. Quand une personne tombe dans le coma 10 secondes après l'injection, tu ne peux pas parler de cohincidence.

Après chacun est libre de se faire vacciner mais être pour l'obligation vaccinale c'est dénigrer les milliers de victime et la liberté individuelle.

Et pour te répondre sur les études scientifiques: aucune étude scientifique sérieuse n'a montré une véritable efficacité sur la plus part des vaccins.

J'ai l'impression que avant de répondre tu n'as pas trop lu tous les messages sur la question.

Pourquoi la France serait un pays d'exeption????????????
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 13:45

http://www.votresante.org/suite.php?dateedit=1202322880

Vaccin contre l’hépatite B : des mises en examen pour tromperie aggravée

07-02-2008-Le vaccin contre l’hépatite B, dès 1994, on vous l’avait dit : “C’est une bombe à retardement”
Par Sylvie SIMON
Quatorze ans après la campagne nationale de vaccination contre
l’hépatite B, les responsables de deux laboratoires ayant mis au point
et commercialisé le vaccin ont été mis en examen pour “tromperie
aggravée”. Il était temps !
Après avoir déclaré que les accusations portées à l’encontre des
responsables “ne sont pas justifiées”, le porte-parole du laboratoire
Sanofi-Pasteur MSD a affirmé que toute cette histoire était uniquement
“franco-française”. Il n’y a que lui pour le croire, à part ceux qui
sont à l’abri de toute information venant de l’étranger.
En Allemagne, comme en Grande-Bretagne, les autorités sanitaires ont
refusé de la conseiller, aussi les vaccinations ont été très réduites
et les effets secondaires également. Seuls trois pays ont vacciné en
masse, la France évidemment, les Etats-Unis et l’Italie où le ministre
italien de la Santé a touché 600 millions de lires quelques mois avant
qu’il ne rende la vaccination obligatoire dans son pays. Il a été
inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, mais le vaccin
a engendré des dégâts semblables aux nôtres.
Aux Etats-Unis, depuis 1990, la loi fédérale oblige tous les médecins à
déclarer les complications vaccinales au VAERS (Vaccine Adverse Event
Reporting System), dépendant de la FDA (Food and Drugs Administration)
et du gouvernement américain. Or, entre le 1er juillet 1990 et le
31 octobre 1998, le VAERS a dénombré 24 775 effets secondaires du
vaccin contre l’hépatite B, dont 9 673 cas très graves et 439 décès,
parmi lesquels 180 ont été classés “mort subite et inexpliquée du
nourrisson”.
A ce sujet, notre journal a consacré, en 1999, un long article à
Michael Belkin qui a témoigné, le 18 mai 1999, devant le Congrès
américain. Alors qu’elle était “pleine de vie et de santé”, sa fille
est morte en 1998 à l’âge de cinq semaines, quinze heures après avoir
reçu sa deuxième injection du vaccin antihépatite B. Le médecin légiste
de New York décréta qu’il s’agissait du syndrome de la mort subite du
nourrisson, négligeant de mentionner dans son rapport que le bébé avait
un oedème du cerveau et qu’elle venait de recevoir le vaccin
antihépatite B, alors que le coroner avait bien confirmé que le cerveau
était hypertrophié. Or il est notoire que la mort subite du nourrisson
est due à un problème respiratoire et non neurologique. Ce cas est loin
d’être unique aux Etats-Unis et existe aussi en France.
Au fil de sa longue et minutieuse enquête, Michael Belkin apprit
qu’aucune étude n’avait été réalisée à partir des données du VAERS.
“Les autorités de la santé persistent à minimiser négligemment le
torrent continu de sérieuses réactions adverses de ce vaccin et de plus
en plus d’enfants et d’adultes continuent de mourir et de souffrir de
troubles neurologiques centraux et hépatiques après cette vaccination.
Dans le monde de la finance, de telles tromperies aboutiraient à des
poursuites judiciaires. Mais cela ne se produit guère dans le monde
médical. Il n’y a aucun règlement imposant l’intégrité du CDC (Centers
for Disease Control and Prevention).”
Quant aux enfants de moins de 6 ans, chez lesquels il n’existe
officiellement “aucun problème” en France, entre 1999 et 2002, le VAERS
a enregistré 13 363 accidents, dont 1 850 hospitalisations et 642 décès
pour ce seul vaccin. On pourrait déjà être affolé par ces chiffres,
mais le 2 juin 1993, la FDA avouait dans Jama qu’une étude du CDC démontrait que : “Seulement 1 % des accidents graves lui étaient rapportés”. Le magazine Money
de décembre 1996 a bien confirmé cet infime pourcentage. Il est certain
que si l’on multiplie les chiffres officiels par ce pourcentage, la
situation est terrifiante.
Comme cela se produit en France, l’énorme sous-déclaration des
complications vaccinales fausse complètement les données sur lesquelles
s’appuient les autorités médicales pour promouvoir leur politique
vaccinale.
L’analyse indépendante des données informatiques issues du VAERS met en
évidence, pour la seule année 1996, 872 accidents graves enregistrés
chez les enfants de moins de 14 ans, en rapport avec le vaccin
antihépatite B. Cette année-là, 48 enfants en sont morts. En résumé,
les accidents déclarés après le vaccin antihépatite B sont trois fois
plus fréquents que les cas d’hépatite B, rarement mortels, observés
chez les enfants de moins de 14 ans, alors que tous les officiels,
américains et européens, ne cessent d’invoquer l’avantage du
bénéfice-risque accordé à ce vaccin. Liraient-ils ces chiffres à
l’envers ?
Déjà, en 1994, The Lancet
(vol. 344) avait dénoncé : “La vaccination contre l’hépatite B a été
associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies
auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de
Guillain-Barré.” Ainsi, contrairement à ce que l’on prétend, les
problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B sont
officiellement reconnus et ne sont pas réservés à la France. Mais en
France, seuls les gens avertis - et bien peu le sont - lisent The Lancet.
Ainsi, aux Etats-Unis comme en France, la crainte des maladies propagée
par l’industrie pharmaceutique et les médias a abouti à une croissance
du pouvoir de cette industrie bien au-delà de ce qui devrait être
toléré dans toute démocratie.
Le 14 juin 1999, le Dr Jane Orient, présidente de l’Association de
médecins et des chirurgiens américains (AAPS), a témoigné devant le
Comité de réforme du gouvernement et a évoqué les 4 600 dossiers
impliquant, outre la sclérose en plaques, bien d’autres maladies
centrales du système nerveux, dont le syndrome de Guillain-Barré, le
lupus érythémateux et aussi l’augmentation inquiétante de l’asthme et
du diabète insulinodépendant, que l’on occulte totalement en France.
Elle a conclu : “Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction
grave au vaccin peut être 100 fois plus grand que le risque
d’hépatite B.”
A ses yeux, la politique vaccinale “est basée sur des conflits
d’intérêt, une méthodologie scientifique éloignée de la critique
indépendante, et les réactions sérieuses défavorables restent ignorées.
Elle représente une violation du Code de Nuremberg car elle force des
individus à avoir un traitement médical contre leur volonté, ou à
participer à l’équivalent d’une expérience à grande échelle sans un
consentement éclairé.”
La FDA a confié 30 000 dossiers médicaux de personnes ayant présenté
des effets indésirables au Pr Bonnie Dunbar, professeur de biologie
cellulaire et moléculaire à l’université de médecine Baylor à Houston.
En collaboration avec des collègues d’autres universités et
institutions médicales, le Pr Dunbar a éliminé les cas douteux, puis a
étudié les cas des familles dont plusieurs membres ont très mal réagi à
la suite de cette vaccination. Pour ces chercheurs, d’après certains
groupes HLA, le système immunitaire du malade s’emballe, devient
aveugle et, reproduisant les maladies auto-immunes que l’on observe au
cours des infections virales naturelles, détruit certaines parties du
système neurologique. Afin d’étudier le rôle que peuvent jouer les
facteurs génétiques dans les réactions au vaccin, Bonnie Dunbar a
introduit plusieurs demandes auprès du gouvernement américain qui les
lui a refusées. Elle pense qu’il existe, aux Etats-Unis, au minimum
200 000 cas d’effets indésirables.
Dans ce pays, un certain pourcentage est prélevé sur le prix du vaccin
pour dédommager les accidents vaccinaux. Etant donné qu’entre 1990 et
2000, 1 048 milliards de dollars ont été payés, et que la somme
maximale octroyée pour un décès ne peut excéder 250 000 dollars, ce
chiffre dément à lui seul toutes les assertions officielles affirmant
que rien ne prouve la nocivité des vaccins. S’ils sont tellement
inoffensifs, pourquoi tant d’argent attribué aux victimes ?
D’autant qu’aux Etats-Unis, comme en France, le parcours des malades
pour obtenir que la Justice puisse faire son travail est aussi
hasardeux qu’onéreux et, alors que l’administration de Clinton avait
déjà durci la procédure d’obtention de cette compensation, celle de
Bush a supprimé tout espoir pour les familles des victimes.
Au Canada, le VAAE (Vaccine Associated Adverse Events) reçoit 4 000 à
5 000 rapports spontanés par an, alors que les médecins canadiens ne
sont pas obligés par la loi de rapporter les effets secondaires des
vaccins (excepté dans l’Ontario). Là encore, en raison de la très
certaine sous-notification, combien existe-t-il de cas en réalité ?
Ce résumé de la situation en Amérique du Nord prouve bien que les
problèmes vaccinaux ne sont pas réservés à la France, comme les
autorités cherchent à nous le faire croire.
Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose
en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais,
outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail
d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne
mensongère, la liste des complications signalées était déjà
impressionnante. Outre les poussées de sclérose en plaques et le
syndrome de Guillain-Barré, on trouvait des névrites optiques,
l’arthrite, les polyarthrites, les péricardites, l’érythème polymorphe,
le lichen plan, uvéites postérieures, paralysies faciales.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 13:45

Une litanie de mensonges
“Nous entendons faire valoir notre point de vue dans cette affaire”, a
déclaré Benoît Soubeyrand, directeur médical de Sanofi-Pasteur MSD. Il
a ajouté qu’il va “collaborer au mieux de ses possibilités avec le juge
d’instruction”. On ne peut être qu’inquiet de la collaboration du
laboratoire avec le juge d’instruction, tout en nous demandant comment
il va répondre de l’accusation de “tromperie aggravée”. Car il s’agit
bien avant tout des énormes mensonges proférés par le laboratoire au
moment de cette OPEA sur la santé publique. Tout le monde a le droit de
se tromper, mais pas de mentir lorsqu’il s’agit de la santé publique.
Mais avant de citer les plus gros mensonges de ce laboratoire, il est
important de savoir qu’il a eu de nombreux complices parmi le
gouvernement, les instances de santé, et certains medias. Seront-ils
aussi mis en examen ? Ce serait indispensable dans une véritable
démocratie, car, dans cette campagne éhontée en faveur de la
vaccination contre l’hépatite B, la publicité a dépassé de très loin
les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola et les mensonges se
sont succédé à une cadence jamais égalée auparavant dans le domaine de
la santé.
C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer
les médecins généralistes avec toute l’objectivité qu’on peut attendre
de quelqu’un qui est à la fois juge et partie. Dans cet élan, il n’a
pas hésité à éditer une plaquette affirmant : “La salive est un
important vecteur de la contamination”, alors qu’on n’a jamais rapporté
un seul cas de contamination transmise par la salive. Et le Conseil
général des Hauts-de-Seine s’est fait le complice des marchands de
vaccins en diffusant un tract de la même veine : “On peut contracter
l’hépatite B par la salive, le baiser, le partage d’objets familiers”.
Et en 1999, dans La Vaccination
(éditions Que Sais-Je), Claude Hannoun, professeur honoraire à
l’Institut Pasteur, osait encore affirmer : “Le virus, tout à fait
différent de celui de l’hépatite A, est transmis directement ou
indirectement à partir du sang, de la salive, du sperme et des
sécrétions vaginales”. Ce professeur honoraire sera-t-il sanctionné
pour son mensonge ?
Pour sa part, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du
gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus
farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui lui avaient
évidemment été soufflés par les marchands du vaccin : “L’hépatite B ce
sont 40 000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes”.
(Cf. Libération,
4 septembre 1994). Pouvait-il alors ignorer que les estimations
officielles (Réseau national de la santé) se situaient autour de 8 000 ?
Cette année 1994, durant tout le mois d’octobre, un camion forum
sillonna la France pour présenter l’émission “Love in Fun”, et le
“Doc”, alias Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de
“l’information”, affirmait alors que quatre milliards d’individus
étaient touchés par le virus. Ce chiffre, qui représente 70 % de la
population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes
et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du
mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester
officiellement. En l’occurrence, il s’agissait de la violation de
l’article 13 du Code de déontologie médicale française et ce médecin,
qui a délibérément violé les règles du serment d’Hippocrate en n’ayant
aucun “souci des répercussions de ses propos auprès du public” et en
ayant fait montre d’une évidente “attitude publicitaire”, aurait dû
comparaître devant le Conseil de l’ordre. Or, celui-ci s’est bien gardé
de le poursuivre alors qu’il condamne, sans aucun état d’âme, de
nombreux médecins pour des raisons bien plus anodines, ne serait-ce que
de soigner avec des “méthodes non conventionnelles et non éprouvées”.
Les méthodes utilisées durant cette vague de folie étaient-elles
“conventionnelles et éprouvées” ? Malgré l’énormité de ce mensonge, à
présent oublié, le Dr Spitz anime certaines émissions télévisées. On
peut imaginer la rigueur de l’information qu’il diffuse.
On peut juger de la rigueur des informations données aux adolescents en
prenant connaissance d’une note interne du laboratoire Pasteur-Mérieux,
qui a été publiée au “Journal de 20 heures” le 23 mars 1998 sur la 2 :
“Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très
porteur... Il faut dramatiser... faire peur avec la maladie”. A lui
seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin,
puisque la “nécessité de vacciner” a été basée sur des affirmations qui
relèvent du délit de publicité mensongère. Comment les défenseurs du
laboratoire vont-ils pouvoir noyer cet énorme poisson ?
Pour justifier cette campagne, le Pr J.F. Girard, alors directeur
général de la Santé, n’a pas hésité à affirmer que l’épidémie avait
tendance à s’étendre et que cette affection présentait un problème
majeur de santé publique ! (Cf. Le Généraliste,
n° 1643, 1995.) Comment peut-on expliquer les fausses assertions d’un
responsable qui devrait être l’un des mieux informés de France ? Notre
ex-directeur de la Santé semble avoir ignoré les chiffres objectifs
dont on disposait déjà et qui sont en parfaite contradiction avec ses
déclarations. Ils provenaient de deux sources : la première est une
enquête menée par le “Réseau Sentinelles” (500 médecins généralistes
répartis dans toute la France et travaillant pour l’Inserm), et la
seconde est une enquête regroupant des échantillons sanguins provenant
de la Surveillance épidémiologique de la Courly (70 laboratoires
d’analyses biologiques dans la région lyonnaise). La courbe de la
Courly montre que l’on avait douze fois plus de cas d’hépatite B en
1978 qu’en 1992, et les chiffres comparés de ces deux réseaux
démontrent une diminution de 90 % des cas observés depuis cette époque,
donc avant la campagne publicitaire en faveur du vaccin. Mais, comme
c’est en 1994 que l’on a entrepris les grandes campagnes de
vaccination, cette amélioration est évidemment attribuée aux seules
vaccinations, alors que l’accélération de la baisse des cas constatée
dès 1986 correspond au retrait des lots de sang contaminé.
Car il
faut savoir que de nombreuses hépatites B ont été criminellement
transmises par la transfusion sanguine de sang contaminé ou l’échange
de seringues chez les drogués. Et de cela, on s’est bien gardé de
parler durant la campagne.
Quant au Pr Jacques Drucker, alors directeur du Réseau national de
santé publique, il prétendait, en 1997, qu’il y avait 3 000 décès par
an à cause de l’hépatite B. Mais le 24 mars 1998, interviewé sur
France 3 dans l’émission “Nimbus”, il affirma alors qu’il y en avait
environ 1 000. Lorsque la journaliste lui fit remarquer que le chiffre
fourni l’année précédente était trois fois supérieur, il coupa court en
corrigeant ses chiffres : “1 000 à 3 000 décès par an”. Voilà encore un
bel exemple de précision “scientifique” chez un responsable de la santé
publique ! Interrogé à son tour, Antoine Flahaut, de l’Inserm, maître
de conférence à Paris VI, affirma pour sa part, sur des bases beaucoup
plus sérieuses, qu’il y en avait entre 630 et 1 000 au maximum. Ainsi,
M. Douste-Blazy nous a donné, au sujet des cas d’hépatites B en France,
un chiffre cinq fois supérieur à celui fourni par le Réseau de la santé
publique, et le Pr Drucker, directeur de ce même réseau, a avancé un
chiffre de trois à cinq fois supérieur à celui de l’Inserm ! Faut-il
incriminer l’ignorance, l’incompétence ou le mensonge organisé ?
Pour cette campagne, la Direction générale de la santé a bénéficié de
la complicité du CFA (Comité français pour l’adolescence) -
subventionné par les laboratoires et qui a augmenté ses rentrées
d’argent de 450 % dès le démarrage de la promotion - et de la
collaboration de SmithKline Beecham et de Fun Radio, partenaires de
qualité, comme on le voit.

Dans Ouest-France
du 6 septembre 1998, le Dr Plassart ne s’est pas privé, lui aussi, de
désinformer ses lecteurs : “Le virus de l’hépatite B se transmet par
voie vénérienne et par la salive. A l’heure des premiers baisers, les
jeunes courent le grand risque de contracter l’hépatite B.” Quant au
“partage d’objets familiers”, souvent cité, il faut être certain de
l’extraordinaire crédulité de la population pour imprimer et répandre
de telles inepties. Mais combien d’adolescents ont cru ces mensonges
puisqu’ils émanaient de personnes “responsables”, de ceux qui sont
chargés de leur montrer l’exemple de la probité.
Michel Georget,
professeur de biologie, a lui aussi remarqué quelques mensonges au
cours de cette campagne. “J’ai relevé un énorme mensonge dans un
dépliant distribué par le laboratoire SKB qui n’hésitait pas à écrire
“L’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an” !
ce qui voudrait dire a contrario que le sida tue moins en un an que
l’hépatite B en un jour. A supposer, pour simplifier, que l’hépatite B
fasse 365 morts par an (soit un par jour, ce qui est déjà très
supérieur à la réalité), cela voudrait dire que le sida tue moins d’une
personne par an ! Hélas, il n’en est rien. Il n’empêche que ce mensonge
a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires
dans les collèges, les lycées.”
Aucun des tracts distribués à outrance ne mentionnait les dangers
potentiels de ce vaccin, pourtant signalés depuis belle lurette dans la
littérature scientifique internationale. Enfin, la plupart de ces
tracts avançaient des chiffres englobant l’ensemble de la planète pour
les morts par hépatites - sans toutefois le préciser, il va sans dire
-, ce qui fausse complètement les données, puisque les pays en voie de
développement présentent des risques des dizaines de fois supérieurs à
ceux de la France, de l’Europe ou des Etats-Unis. De même, certaines
informations confondaient les chiffres de l’hépatite B et ceux de
l’hépatite C sans indiquer que le vaccin antihépatite B n’a aucun effet
sur l’hépatite C (à part ses effets secondaires dangereux). Ils ont
aussi mis l’accent sur le cancer du foie associé au virus, utilisant le
même amalgame entre la situation des pays du Tiers-monde et celle de la
France, tout cela sous le couvert de l’OMS.
Le 14 février 2005, l’Institut de veille sanitaire nous prévenait que
les résultats préliminaires qui permettaient de disposer, “pour la
première fois en France métropolitaine”, d’une estimation du taux de
prévalence du portage de l’antigène HBs dont la présence signe une
infection chronique par le virus de l’hépatite B, était “plus élevé que
ce qui était proposé jusqu’à maintenant”. Puisque c’est la première
fois qu’on mène une pareille étude en France, comment peut-on parler
d’un taux “plus élevé” étant donné qu’on n’avait aucune valeur de
comparaison, ce qui est bien la preuve que l’on nous dit n’importe quoi.

Dès le lendemain, 15 février 2005, Le Figaro
reprenait le chiffre de 300 000 personnes contaminées par le virus de
l’hépatite B, et citait Maxime Journiac, spécialiste de Sida Info
Service, qui posait une question qu’il qualifiait de “lancinante” :
“Est-ce l’abandon des campagnes de vaccination qui est responsable de
cette aggravation ?” Et il reprenait la litanie de mensonges : “Le
virus se transmet par le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, la
salive et les liquides issus d’une plaie”. Personne ne semble avoir
remarqué dans cet article qu’avec la moitié de la France “protégée” du
virus par le vaccin, il existe bien plus de cas qu’avant la campagne de
vaccination massive. Etant donné que l’incidence de la maladie avait
diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination de masse, on
ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B
ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer
à vacciner qui que ce soit.
L’article signalait également que “La
France est le seul pays européen où l’opposition au vaccin contre
l’hépatite B a eu de telles conséquences judiciaires et médiatiques que
la couverture vaccinale a reculé”, en se gardant bien de dire que nous
sommes le seul pays européen à avoir subi de telles pressions des
laboratoires et à leur avoir obéi. Ainsi, en Grande-Bretagne, on a
vacciné 5 %, et non 50 %, de la population. Même si “notre couverture
vaccinale a reculé”, elle est de loin très supérieure à celle de ce
pays qui n’a pourtant pas davantage de cas d’hépatite B que nous. Mais
tout le monde semble l’ignorer, Le Figaro méritant la palme à cet égard.
Dans le même esprit, en 2004, on pouvait encore entendre le Dr Edwige
Antier, qui intervient régulièrement dans les médias, affirmer sur
France-Inter que l’hépatite B est une maladie très grave qui menace la
population française et que les accidents, dont elle prétend que le
lien avec le vaccin n’a jamais été établi, s’élèvent au maximum à 200
cas. Ce genre de mensonge n’a jamais été sanctionné par qui que ce
soit, et certainement pas par le Conseil de l’ordre des médecins.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 13:46

Les pouvoirs publics le savaient
Alors que nos pouvoirs publics criaient haut et fort qu’il n’existait
aucun accident, ils nous donnaient une autre preuve, encore une, de
leur mensonge. Le Parisien
du 2 octobre 1998 a publié le fac-similé d’une lettre envoyée à Liliane
Larvor, atteinte de polyarthrite rhumatoïde depuis sa vaccination
obligatoire pour travailler à la Faculté. La lettre, à l’en-tête du
ministère du Travail et des Affaires sociales, est datée du 16 janvier
1996 et signée par François Vareille, sous-directeur des professions de
santé.
“Au vu du rapport établi par l’expert, le Dr Martin, du
centre de pharmacovigilance de Brest, la commission de règlement
amiable des accidents vaccinaux lors de sa séance du 9 janvier 1996 a
conclu que le lien de causalité entre la vaccination et les troubles
observés devait être retenu.
“Au vu de cet avis favorable, je vous propose à titre d’indemnisation
la somme de 100 000 francs (cent mille francs) en réparation des
préjudices de toute nature consécutifs à la vaccination que vous avez
subie.”
Cette lettre implique une reconnaissance totale et officielle des
effets secondaires, dès 1996, et prouve ainsi que de nombreux officiels
nous ont menti en affirmant qu’il n’y avait “aucun” effet secondaire
grave. Mais la dernière partie de cette lettre est fort intéressante.
La somme proposée représente le prix du silence de la victime
puisqu’elle doit s’engager à renoncer “à intenter toute action en
réparation à raison de ce même préjudice”. Lourdement handicapée,
Liliane Larvor a accepté les 100 000 francs. Elle a déclaré au Parisien
: “Quand j’ai lu dans les journaux que l’Etat ne reconnaît rien, j’ai
été ulcérée”. On peut lire plus loin dans le même article : “Liliane
n’est pas la seule à avoir reçu ce type de proposition financière. Le Parisien Aujourd’hui
a pu consulter quatre autres dossiers du même type, à en-tête du
ministère et reconnaissant une responsabilité vaccinale”. Ainsi, cinq
personnes étaient déjà indemnisées à l’époque et il y en a eu d’autres
depuis. Ces dédommagements prouvent bien que l’on “savait”, alors qu’on
niait toujours et qu’on nie encore.
Le Dr Marc Girard, qui fut l’expert nommé par la cour d’appel de
Versailles, estime à plus de 80 000 les cas de sclérose en plaques
associés à ce vaccin. Il a découvert un rapport de la Direction
générale de la santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces
vaccins auraient produit “la plus grande série d’effets indésirables
recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974”, alors que
tous nos responsables (mais pas coupables) de la santé persistent à
affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Il a ainsi constaté que le
centre de pharmacovigilance de Strasbourg est tellement efficace qu’une
victime, décédée en 1998, était alors déclarée toujours vivante, et une
autre victime aurait été vaccinée deux mois après son décès. De même,
99 % des dossiers de l’enquête auraient été “perdus” en cours
d’analyse. Il est certain que, dans le domaine de la santé, les pertes
de dossiers s’accumulent, comme c’est aussi le cas dans le scandale de
l’hormone de croissance.
Le Dr Girard fait aussi remarquer que “ceux qui maintiennent l’intérêt
de cette vaccination sont ceux qui, dans les revues épidémiologiques,
admettent sans rire qu’il existe une incertitude de 1 à 7 sur les
chiffres de la contamination virale.” (Cf. Médecine et Maladies infectieuses,
2003 ; 33). Et il pose la question : “Qui prendrait au sérieux les gens
de l’INSEE s’ils venaient nous dire qu’au terme du dernier recensement
la population française compte entre 60 et 420 millions de citoyens ?”

En 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes
avaient totalement innocenté le vaccin, alors que ces deux études,
réputées “indépendantes”, furent initiées et en partie financées par
les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, à présent
Sanofi-Pasteur MSD, et la seconde par Merck - qui est, par hasard,
associé de Pasteur-Mérieux.


On trouve l’exemple même du “flou artistique” qui entoure ce problème
sur le site actuel de Doctissimo. Dans l’une des versions du site, on
peut lire qu’en France, il y aurait environ 100 000 à 150 000 personnes
porteuses du virus de l‘hépatite B, alors qu’une autre rubrique affiche
que près de 300 000 personnes sont porteuses du virus, et que
“L’hépatite virale B est une maladie grave, qui peut évoluer en
infection chronique. Ce risque est d’autant plus important que la
personne atteinte est jeune. Le germe coupable fait partie des dix
virus les plus redoutables du monde.” Doctissimo sera-t-il mis en
examen pour “tromperie aggravée”, étant donné que l’hépatite B passe
inaperçue la plupart du temps et évolue spontanément vers la guérison
dans plus de 95 % des cas et que les sujets sont ensuite immunisés.
Parmi les 5 % des autres cas, il n’est pas impossible qu’une hépatite
aiguë se manifeste. Or, d’après Panorama du médecin :
“L’hépatite aiguë en règle générale est une affection bénigne pour
laquelle il n’est pas indiqué (et même contre-indiqué) de prescrire une
quelconque médication.” (Cf. n° 4131 - 1995.) La complication la plus
grave est l’hépatite fulminante, mortelle dans un cas sur deux, mais ce
risque ne concerne que 1 % des cas d’hépatites aiguës, c’est-à-dire un
chiffre négligeable par rapport aux effets secondaires du vaccin.
Si ce virus est l’un des dix virus les plus redoutables du monde, nous
pouvons dormir tranquilles, ce qui n’est pas toujours le cas.
On peut ainsi constater, une fois de plus, que le risque est toujours
pour le malade, le bénéfice, toujours pour le laboratoire. Il serait
donc normal que ce bénéfice, généré par des manoeuvres douteuses, soit
parfois grevé par une condamnation. Mais seront-ils lourdement
condamnés ? Rien n’est moins certain étant donné leur influence. De
toute manière, c’est pour nous l’occasion de constater si notre Justice
est vraiment indépendante, ce que nous espérons tous.

Sylvie SIMON
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 13:47

Si après ça quelqu'un est encore pour l'obligation vaccinale, je trouve cela très grave. bounce
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paesyre

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeDim 10 Aoû 2008 - 17:08

pour l'autisme chez les garçons: c'est une histoire d'hormones qui favorise la bonne santé des filles quand elles sont jeunes (- de 10 - 13 ans). Avec l'adolescence, la ballance s'inverse et le filles risquent plus de problèmes que lee garçons.


boukito: merci pour ton super article.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 17:20

Personne n'oblige à vacciner contre l'hépatite B. Le seul vaccin obligatoire en France est le DTPolio.

Quand à mes chiffres, ils me viennent de mon cours de virologie que j'ai eu en 3ème année de mes études de pharmacie.
D'autre part, tes chiffres de décès suite à la vaccination me parraissent erronés quand on sait que les coxibs ont été interdits de vente après trois décès aux Etats Unis, que la pseudoéphédrine a été interdite de vente en France en spécialité non associée après une suspicion de décès suite à la prise de ces molécules.

La presse ne tient malheureusement pas lieu d'études scientifiques: les journalistes sont rarement calés en médecine si je me fie aux bourdes que peuvent faire les journalistes à ce sujet, et la presse est prête à publier n'importe quel pseudo scoop pour faire de l'audimat. Faire confiance à une presse telle que le figaro, le parisien ou libération, prouve bien ta prédisposition à te faire manipuler.

Tu sais, il existe un réseau très efficace appelé pharmacovigilance qui s'occupe de gérer et de répertorier tous les cas de toxicité médicamenteuse. Je travaille en hopital et je fais entre 4 et 5 déclarations de pharmacovigilance par mois. Donc si effectivement tes 500 cas de décès par an étaient réellement dus au vaccin contre l'hépatite B, cela ferait longtemps que le vaccin ne serait plus commercialisé.

En ce qui concerne les vaccins en règle générale, va dire aux paralysés de la polio que ce vaccin ne sert à rien, imagine le nombre de personnes défigurées que tu croiserais dans les rues si la variole n'avait pas été éradiquée par la vaccination! Va expliquer aux jardiniers qui se coupent ou se piquent avec une épine de rosier qu'ils vont mourrir dans les atroces souffrances du tétanos! Va consoler une femme qui vient de perdre son bébé à cause de la rubéole qu'elle a eu pendant sa grossesse!

Réagir comme toi, c'est vraiment faire comme un pauvre enfant gaté qui a grandi dans un pays de riches en ayant toujours tous les soins qu'il pouvait avoir, et toute la nourriture et les médicaments pour grandir sereinement. Pense à tous les enfants qui mourraient de la tuberculose, de la rougeole, de la diphtérie il n'y a pas si longtemps de ça, et ose dire que la vaccination n'est pas un progrès!

Si les enfants non vaccinés ne sont pas malade, c'est justement grâce à la protection que leur offre la couverture vaccinale des autres enfants. Si on stoppe la vaccination, on fera un bon de 100 ans en arrière du point de vue de la santé publique.

Mais comme il me semble que nous sommes dans un véritable dialogue de sourds, reste dans ton ignorance, j'ai dit ce que j'avais à dire et je n'interviendrais plus sur ce sujet.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 18:06

Mes sources:
afssaps.sante.fr/pdf/6/vhbrap.pdf

agmed.sante.gouv.fr/htm/10/hepatite/hepatite.htm



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Hépatite B :
en pratique, continuer à vacciner les groupes à risques
Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Pixel Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Pixel
La vaccination des groupes à risque élevé
d'hépatite B a une balance bénéfices-risques
nettement favorable. Il existe des arguments en faveur d'une vaccination
de masse des nourrissons et des adolescents, mais les mesures d'encadrement
mises en place en France sont encore insuffisantes pour une action
de santé publique de cette ampleur.



















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Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceLa vaccination de masse contre l'hépatite B en France, lancée dans les années 1990 a été très controversée.
La revue Prescrire y a consacré une série de synthèses en 1999 et a suivi l'évolution des données depuis. Dans le numéro 253 de septembre 2004, est présentée
une synthèse méthodique, mise à jour, des connaissances des effets indésirables généraux des vaccins de l'hépatite B.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceL'infection par le virus de l'hépatite B (HBV) est une infection contagieuse
qui se transmet principalement par voies sexuelle, sanguine, périnatale
et dans l'entourage très proche. C'est une infection potentiellement
grave dans certains cas, à court terme (hépatite fulminante)
et à long terme (cirrhose et cancer du foie). On ne dispose pas, en 2004, de traitement curatif d'efficacité démontrée
à un stade précoce de l'infection.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceDans les pays de faible endémicité, tels que la France, l'hépatite touche surtout les adultes âgés de 20 ans à 40 ans. Le risque de portage chronique du virus est alors inférieur
à 10 %.
Dans les pays de forte endémicité (Afrique subsaharienne, Asie, région Pacifique), jusqu'à 20 % de la population est porteuse chronique du virus de l'hépatite B.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceEn France, on dispose de peu de données épidémiologiques récentes.
Aucune donnée précise de prévalence n'a été
rendue publique à l'occasion d'une conférence de consensus française sur la vaccination contre l'hépatite B qui a eu lieu en septembre 2003 : la prévalence du portage
du HBV a été estimée entre 0,2 % et 0,5 %.
Quelques données sont en faveur d'une baisse de l'incidence au cours des années 1990 en France

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceLes groupes à risque identifiés restent inchangés depuis les années
1990 : les enfants nés de mère porteuse du HBV ; les professionnels exposés aux liquides biologiques humains ; les personnes exposées aux maladies sexuellement transmissibles ;
les usagers de drogues intraveineuses ; les patients susceptibles de recevoir fréquemment des produits dérivés du sang ; les handicapés mentaux et le personnel spécialisé
qui s'en occupe ; les personnes incarcérées ;
certains voyageurs en zone de forte endémicité, selon la durée, les conditions de voyage, le type d'activité et les risques iatrogènes ; l'entourage très proche
d'une personne porteuse du virus ; les enfants originaires des pays d'endémicité élevée.
Le risque pour les enfants dont un camarade de classe ou de crèche est porteur du virus fait toujours l'objet de données contradictoires. Par ailleurs, on ne peut exclure formellement un risque de transmission lié aux sports collectifs.
D'autres pratiques ont été impliquées dans la
transmission de l'hépatite B, évitable par le respect de règles d'hygiène strictes mais simples, notamment les tatouages et piercings, et l'acupuncture.
La transmission du HBV par un soignant infecté à un patient est bien documentée, surtout pour les soignants effectuant
des gestes invasifs.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceDans des pays d'endémicité élevée de l'hépatite B, des programmes de
vaccination de masse des nourrissons et des adolescents ont été associés à une diminution de l'incidence de l'hépatite B, du risque de
cancer du foie et d'hépatite fulminante aiguë chez les enfants.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceLorsque la vaccination
initiale contre l'hépatite B est suivie par un taux d'anticorps antiHBs supérieur à 10 mUI/ml, la protection clinique semble se prolonger au moins une dizaine d'années chez les enfants.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceEn pratique, les conclusions de 1999 de la revue Prescrire restent d'actualité.
La balance bénéfices-risques de la vaccination contre l'hépatite B est favorable chez les sujets exposés.


Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceÀ l'échelon individuel, il est justifié de proposer une vaccination à toute personne non immunisée qui présente un risque
identifié d'exposition au virus de l'hépatite B, quel que soit son âge. Il en est de même pour l'entourage proche de ces personnes.

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) PuceÀ l'échelon collectif, en France, le maintien de la recommandation d'une vaccination
systématique des nourrissons et des préadolescents ne manque pas d'arguments, notamment parce qu'il est illusoire d'espérer
identifier la totalité des personnes dont la situation expose à un risque élevé d'hépatite B. Ces stratégies se sont révélées efficaces dans des pays d'endémicité
moyenne à élevée. Pour autant, les garanties
devant accompagner une stratégie de vaccination de masse, que
nous réclamions déjà en 1999, ne sont toujours pas réunies : une pharmacovigilance active, transparente et spécifique, réactive et à l'échelle de l'ampleur du programme, un suivi épidémiologique de l'infection par le HBV et de la couverture vaccinale, une information
de la population régulière, adaptée et indépendante des firmes qui commercialisent les vaccins.

©La revue Prescrire 15 septembre 2004
Rev Prescrire 2004 ; 24 (253) : 598-599 (19 références).







COMMUNIQUÉ


Sur la vaccination contre l'hépatite B en
France


Pierre Bégué, Marc Girard, Jacques Frottier, François Denis et la
sous-commission « Vaccinations ».


Au nom de la Commission VII (Maladies infectieuses et parasitaires)


(12 février 2008)

Une campagne médiatique sur les effets adverses graves de la vaccination contre
l’hépatite B se développe à nouveau en France à la suite de la mise en examen
des laboratoires producteurs du vaccin. Bien qu’elle concerne leur action
publicitaire en 1994, l’accent est mis, par les médias, sur la responsabilité du
vaccin dans la survenue de cas de sclérose en plaques (SEP) .


L’Académie de médecine s’inquiète de ces allégations, qui réveillent une fois
encore l’inquiétude et les hésitations des médecins vaccinateurs et des
personnes à vacciner. Elle rappelle ses prises de positions antérieures, en date
du 4 février 1997, du 30 juin 1998 et du 3 décembre 2002. En 2002, déjà,
l’évaluation du rapport bénéfices/risques du vaccin faite par l’InVs dans une
cohorte d'adolescents et d’adultes à risques montrait que le nombre de porteurs
chroniques du virus, de cirrhoses et de cancers du foie évité par la vaccination
était très supérieur à celui des éventuels effets secondaires imputés [1].


Depuis cette époque, 8 études nationales et internationales ont démontré
l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la
vaccination contre l’hépatite B. Une étude publiée en 2004 par Hernan [2] a
soulevé des questions mais sa méthodologie a été réfutée par les experts de
l’OMS [3,4]. Deux réunions de consensus nationales en 2003 et 2004 ont confirmé
les recommandations de vaccination prioritaire des nourrissons et de rattrapage
des enfants et adolescents non vaccinés[5,6]. Tout récemment ont été publiées
deux études des services de neuro-pédiatrie français (KIDSEP) chez l’enfant et
l’adolescent (2007) : la première démontre l’absence d’influence du vaccin de
l’hépatite B sur le risque de passage à la SEP après le premier épisode de
maladie démyélinisante ; la deuxième montre qu’il n’ y a pas d’augmentation du
risque de première poussée de SEP après une vaccination contre l’hépatite B dans
les 3 années précédentes [7,8]. L’ensemble de ces résultats a conduit le Haut
conseil de santé publique à rappeler les recommandations de la vaccination le 14
décembre 2007[9].


L’Académie de médecine constate que la couverture vaccinale du nourrisson et de
l’enfant demeure très faible en France (25%), contrairement aux autres pays
européens et du continent nord-américain. En 2003-2004 on observait 600 nouveaux
cas d’hépatite B annuels, dont la moitié aurait pu être évitée si les
recommandations de vaccination avaient été suivies, et l’on estimait à 280000 le
nombre de porteurs de l’Ag HbS en France [10]. Les craintes actuelles à l’égard
de la vaccination, injustifiées, vont encore aggraver cette situation.
L’Académie nationale de médecine affirme à nouveau l’importance de la
vaccination contre l’hépatite B, souligne la cohérence en terme d’efficacité et
de sécurité des recommandations de vaccination contre l’hépatite B des
nourrissons avec rattrapage jusqu’à 13 ans, rappelle les données scientifiques
montrant son absence d’imputabilité dans la SEP chez les enfants et les
adolescents et insiste sur le risque qu’il y a, pour la France, à laisser
persister une protection aussi faible contre cette redoutable maladie.

Références
1. Lévy-Bruhl D, Desenclos JC, Rebière I, Drücker J. Central demyelinating
disorders
and hepatitis B vaccination: a risk
benefit approach for the pre-adolescent vaccination in France. Vaccine 2002; 20:
2065-71.


2. Hernán M.A, Jick S.S, M.J. Olek , Jick H. Recombinant hepatitis B
vaccine and the risk of multiple sclerosis . A prospective study.
Neurology 2004; 63: 838–42

3. Naismith R.T, Cross A.H. Does the
hepatitis B vaccine cause multiple sclerosis?
Neurology 2004;63:772–773

4. Comité consultatif mondial de l'organisation mondiale de la santé sur la
sécurité des vaccins: réponse à l'article de Hernan et al. intitulé "vaccin
hépatite B recombinant et risque de sclérose en plaques" et publié le14
septembre 2004 dans la revue Neurology. OMS. Hépatite B. GACVS.



www.who.int


5. Réunion de consensus: vaccination contre le virus de l’Hépatite B. 11 et
12 septembre 2003. Paris.


www.inserm.fr


6. AFSSAPS, ANAES, INSERM.Audition
publique .Vaccination contre le virus de l’Hépatite B et sclérose en plaques.
Etat des lieux. Paris 9 novembre 2004. Rapport.

www.inserm.fr


7. Mikaeloff Y, Caridade G, Assi S,
Tardieu M., Suissa S, on
behalf of the KIDSEP study group of the French
Neuropaediatric Society. Hepatitis B vaccine and risk of
relapse after a firstchildhood episode of CNS inflammatory demyelination .
Brain 2007 ;130 :1105-10.

8. Mikaeloff Y, Caridade G,
Rossier M, Suissa S, Tardieu M.
Hepatitis B Vaccination
and the Risk of Childhood-Onset Multiple Sclerosis. Arch Pediatr Adolesc
Med. 2007;161:1176-82.

9. Haut Conseil de la santé publique Avis relatif aux recommandations de
vaccination contre l’hépatite B en France. 14 décembre 2007. Avis du HCSP.

www.hcsp.fr

10. Antona D, Delarocque-Astagneau E, Lévy-Bruh D. Déclaration obligatoire
des hépatites B aiguës : résultats de la première année de surveillance, France,
1er mars 2003-1er mars 2004. Bull Epidemiol Hebd. 2005; 31: 157-160.

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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 18:13

Article de L'Oms:

Questions et réponses relatives à l'étude sur le
vaccine recombinant contre l'hépatite B et le risque de sclérose en
plaques publiée par Hernán et al. Dans la revue Neurology, 2004



Pourquoi reparle-t-on de l'association entre vaccination hépatite B et sclérose en plaques?
Le rôle éventuel de la vaccination contre l'hépatite B dans la survenue
d'une sclérose en plaques (SEP) est à nouveau discuté parce qu'une
nouvelle étude vient d'être publiée (Hernán et al, Neurology 2004) et
qu'elle relance les interrogations posées il y a une dizaine d'années.

En quoi consiste cette nouvelle étude?
Cette étude rétrospective a utilisé le registre de médecins
généralistes anglais (GPRD) pour rechercher tous les patients adultes
avec une SEP et comparer les vaccins qu'ils avaient reçus au cours des
années précédentes avec ceux reçus par des patients adultes contrôles
sans SEP. Parmi 713 patients avec une suspicion de SEP, 275 ont été
éliminés parce que leur diagnostic de SEP était erroné ou incertain,
leurs dossiers incomplets ou leur suivi interrompu par un décès. Les
dossiers des 438 patients restant ont été analysés pour déterminer la
date des premiers symptômes de SEP et les auteurs se sont concentrés
sur 163 patients suivis depuis au moins trois ans dans le GPRD avant la
date présumée de leurs premiers symptômes. En analysant ces 163
dossiers, les auteurs ont observé que la majorité des patients
(152/163, 93.3%) n'avaient pas été vaccinés contre l'hépatite B. La
petite proportion de patients vaccinés contre l'hépatite B (11/163,
6.7%) était cependant trois fois plus élevée (OR 3,1; IC95 1,5 - 6,3)
que chez les sujets contrôles (39/1604, 2.4%). Si cette observation
était représentative, elle pourrait donc indiquer un rôle de la
vaccination hépatite B dans la survenue d'une SEP.

En quoi cette étude diffère-t-elle des études précédentes?
Toutes les études ont des particularités susceptibles d'aboutir à des
résultats éventuellement différents. Une particularité de l'étude de
Hernán est d'avoir utilisé les dossiers médicaux constitués par les
médecins généralistes, alors que les autres études se sont fiées aux
indications des patients pour relever leurs vaccinations et le début
des symptômes de SEP. Il suffirait par exemple que certaines
vaccinations ne soient pas indiquées dans les dossiers des médecins
généralistes pour que les résultats soient faussés. Une autre
limitation est que la vaccination hépatite B est seulement recommandée
en Angleterre pour certains groupes à risques (professionnels de santé,
voyageurs en région d'endémie, patients avec atteinte hépatique ou
rénale, prostituées et toxicomanes) qui pourraient ne pas être
représentatifs des populations inclues dans les autres études. Les
auteurs ont dû éliminer beaucoup de dossiers incertains ou incomplets,
ce qui a réduit le nombre de leurs observations à un tout petit nombre
de patients (seulement 11 ayant reçu le vaccin contre l'hépatite B). Il
suffirait d'une erreur dans le statut vaccinal et les dates de
vaccination ou de début de symptômes chez un tout petit nombre de
patients pour que l'étude de Hernán conclue, comme les études
précédentes, à l'absence de corrélation entre vaccination hépatite B et
SEP. Une autre différence est le fait que l'étude de Hernán considère
une période de risque plus longue (trois ans) allant au delà de la
période suggérée par les données de pharmacovigilance françaises.

Cette étude suggère-t-elle que la vaccination
contre l'hépatite B pourrait accélérer la survenue d'une SEP chez
certains patients prédisposés?

Non, les résultats de
l'étude de Hernán ne suggèrent pas que la vaccination puisse accélérer
la survenue d'une SEP. D'une part, l'âge moyen lors du premier symptôme
de SEP était similaire même chez les sujets vaccinés et les sujets non
vaccinés contre l'hépatite B. D'autre part, la proportion des patients
ayant développé une SEP dans les 12 mois après vaccination était
comparable à celle des sujets contrôles (1,8% et 1,0%, respectivement).
La seule différence apparente concerne donc la période s'écoulant entre
12 et 36 mois après vaccination. Cette étude est donc en accord avec
toutes les autres études n'ayant pas identifié de risque accru de
développer une SEP dans l'année suivant une vaccination hépatite B
comme cela avait été suggéré par les données françaises de
pharmacovigilance.

Cette étude suggère-t-elle que la vaccination contre l'hépatite B pourrait causer une SEP?
L'étude de Hernán présente des limitations qui ne permettent pas
d'étendre ses résultats à la population générale : elle repose sur
l'analyse d'un très petit nombre de patients vaccinés (11) présentant
des facteurs de risques pour une hépatite B. La présente étude
contraste avec les conclusions de multiples autres études et comités
d'experts qui ont conclu à l'absence de lien entre la SEP et la
vaccination contre l'hépatite B. Bien qu'il puisse y avoir les
problèmes méthodologiques dans certaines des autres études, nous devons
considérer l'étude de Hernán dans le contexte de l'ensemble des autres
études négatives.

Est-ce que les résultats de cette étude sont en accord avec ceux des autres études?
Non. Aucune des nombreuses études précédentes n'a mis en évidence
d'augmentation significative du risque de SEP après vaccination contre
l'hépatite B. L'étude de Hernán doit donc être considérée comme une
pièce de puzzle inattendue dans un ensemble de données soutenant la
sécurité de la vaccination contre l'hépatite B.

Est-ce que la différence entre cette étude et les études précédentes pourrait refléter la méthodologie utilisée?
Afin de déterminer si les résultats inattendus de cette étude
s'expliquent par la méthodologie utilisée, le CDC a appliqué la même
méthodologie aux données d'un grand registre américain (VSD), en
utilisant soit les données médicales, soit les données fournies par les
patients (De Stefano F, 20th International Conference on
Pharmacoepidemiology, Bordeaux, August 2004). Leurs observations
confirment que les dossiers médicaux ne contiennent souvent qu'une
partie des informations dont disposent les patients, en particulier en
ce qui concerne leurs vaccinations ! Cette étude américaine analysant
les dossiers de 276 patients et 599 témoins appariés n'a identifié
aucune corrélation entre la vaccination hépatite B et la survenue d'une
SEP, et ce à aucun moment dans les cinq années suivant la vaccination.
Ces données renforcent la suspicion de l'existence de facteurs de
confusions dans l'étude de Hernán, y compris la vaccination de sujets à
risques, l'analyse de données médicales peut-être non exhaustives et le
petit nombre de patients retenus.

Quels sont les résultats de cette étude en ce qui concerne les autres vaccins?
En suivant la même approche que pour la vaccination hépatite B, Hernán
et collaborateurs ont trouvé la même proportion de patients (6,1%) et
de contrôles (6,0%) vaccinés contre la grippe au cours des trois ans
précédents. Ceci est en accord avec les autres études ayant montré
qu'il n'y a aucune influence de la vaccination contre la grippe sur la
survenue d'une SEP. Ils ont observé que la proportion de patients
vaccinés contre le tétanos (11,7%) au cours des trois ans précédents
était significativement plus faible que celle des contrôles (17,4%).
Les limitations de l'étude ne permettent cependant pas de suggérer que
la vaccination contre le tétanos pourrait avoir un effet protecteur sur
la survenue d'une SEP.

Si les résultats de cette étude étaient représentatifs, quelle en serait l'hypothèse biologique?
Si les résultats de cette étude étaient représentatifs de la population
générale, il faudrait trouver une hypothèse compatible avec une
augmentation du risque de SEP entre 12 et 36 mois après vaccination de
sujets adultes contre l'hépatite B. Cet intervalle de temps n'est pas
compatible avec un effet non-spécifique, observé dans les semaines
après une vaccination, des vaccins ou de leurs adjuvants. Il faudrait
donc imaginer un rôle causal de l'antigène HBsAg, mais ceci est rendu
improbable par l'absence d'association entre infection hépatite B et
SEP. Le rôle potentiel de l'aluminium/du thiomersal contenus dans le
vaccin hépatite B est démenti par l'absence d'influence des vaccins
tétanos et influenza dans la même étude. Ainsi, il n'y a actuellement
pas d'hypothèse biologique susceptible d'expliquer les observations de
cette étude.

Si les résultats de cette étude étaient
représentatifs, est-ce que cela accuserait les adjuvants ou les
additifs contenus dans les vaccins contre l'hépatite B?

Non. Si les résultats de cette étude étaient représentatifs de la
population générale et indiquait un risque accru de SEP entre 12 et 36
mois après vaccination, on ne pourrait pas attribuer ce risque à
l'aluminium ou au thiomersal puisque ces composants sont aussi présents
dans les vaccins tétanos et influenza, qui ne sont pas identifiés comme
augmentant le risque de SEP dans l'étude de Hernán ni dans aucune des
études précédentes.

Si les résultats de cette étude étaient
représentatifs, quel serait le risque maximal pour la population
vaccinée contre l'hépatite B?

Si les résultats de cette
étude étaient représentatifs de la population générale, on devrait
s'attendre à ce que le risque de développer une SEP dans les trois ans
après la vaccination hépatite B de sujets adultes puisse augmenter de
3,1 fois, passant par exemple de 1 patient /100000 à 3 patients/
100,000 environ. Mais les limitations de cette étude et les données de
sécurité vaccinale accumulées à travers le monde indiquent que ce
scénario n'est pas probable.

Les résultats de cette étude vont-ils entraîner des modifications dans les recommandations de vaccination contre l'hépatite B?
Ni les auteurs de l'étude, ni l'éditorial qui l'accompagne, ne
remettent en cause l'importance de la vaccination contre l'hépatite B.
Les résultats préliminaires de cette étude ont déjà été présentés
publiquement il y a plus d'un an. Bien qu'il soit trop tôt pour que les
autorités de santé se soient déjà prononcées, aucune n'a fait part de
la moindre intention de modifier ses recommandations de vaccination
contre l'hépatite B, dont la réalité médicale est bien supérieure à
celle d'un risque théorique non démontré. Il est important de noter que
quelles que soient les explications aux résultats de l'étude de Hernán,
cette étude concerne exclusivement la vaccination des sujets adultes à
risques d'hépatite B. Les données accumulées depuis 20 ans ont
formellement démontré la sécurité de la vaccination hépatite B chez les
nouveaux-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 18:20

Même le Figaro (pour rester dans le même genre de presse que tes articles) a publié un article sur l'absence de risque de la vaccination contre l'hépatite B! (article du 12 février 2008)

Une nouvelle étude française souligne l'absence de lien entre la
vaccination contre l'hépatite B chez l'enfant et la sclérose en plaques.


Tout
récemment, deux représentants de l'industrie pharmaceutique ont été mis
en examen dans l'affaire du vaccin contre l'hépatite B et le risque de
sclérose en plaques, relançant le débat sur cette question. Pourtant,
en décembre dernier, des médecins français ont publié, dans la revue
Archives of Pediatrics une nouvelle étude concluant que chez l'enfant,
il n'existe pas de lien entre cette vaccination et la sclérose en
plaques. Réalisée sous la houlette du professeur Marc Tardieu de
l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, elle a concerné la majorité des enfants
ayant déclaré une sclérose en plaques en France entre 1994, date de la
campagne de vaccination massive lancée par le gouvernement de l'époque,
et 2003. «C'est la première fois que ce type d'étude est effectué chez
des enfants souligne Marc Tardieu, et le résultat est clair : parmi les
143 cas recensés, la vaccination contre le virus de l'hépatite B
n'était pas associée à un risque plus important de déclarer la
maladie.» Les auteurs ont repris la même méthodologie (dite
­cas-témoin) utilisée par une autre grande étude effectuée en 2004 chez
l'adulte, la seule à avoir suggéré un risque accru, mais arrivent en
l'appliquant chez l'enfant à une conclusion opposée. En 2007, l'équipe
française avait montré que cette vaccination chez des enfants déjà
atteints de sclérose en plaques n'avait aucun effet sur l'évolution de
la maladie. «Ces travaux confirment une dizaine d'études sur le sujet
et ce que pensent déjà les spécialistes de la sclérose en plaques»,
commente le professeur de neurologie Christian Confavreux, membre du
comité médico-scientifique de l'Association pour la recherche contre la
sclérose en plaques (Arsep). «Des dizaines de millions de personnes ont
maintenant été vaccinées contre le virus de par le monde, et plus un
seul pays ne se pose ce type de question sauf nous. Plus les études
sont approfondies, plus cette vaccination apparaît sans rapport avec le
déclenchement ou la progression de la maladie. Des coïncidences
accumulées avec le nombre ne font pas une causalité.»

Immunité de très longue durée

Dans
les pays en voie de développement, le virus de l'hépatite B est la
deuxième cause identifiée de décès par cancer, après le tabac. En
France, il fait près de 1 500 victimes chaque année selon les chiffres
officiels. En 1994, suite aux recommandations de l'OMS, le gouvernement
français avait lancé une vaste campagne de vaccination des nourrissons
et des élèves de 6e. Vacciner en bas âge induit une immunité de très
longue durée, peut-être à vie contre le virus et permet de toucher
toutes les couches sociales. La vaccination des collégiens était un
rattrapage destiné à compléter la couverture vaccinale contre une
infection sexuellement transmissible. En 1998, alors que des
soupçons planaient encore d'un possible effet aggravant de la
vaccination sur la sclérose en plaques, le ministre de la Santé,
Bernard Kouchner, décide de suspendre celle proposée chez tous les
collégiens. «La couverture vaccinale chez les pré-ados était à l'époque
proche de 80 %,» précise Daniel Lévy-Bruhl, responsable du département
vaccinations à l'Institut de veille sanitaire (InVS), «ce qui fait que
nous observons actuellement une chute des cas d'hépatites aiguës chez
les jeunes adultes. La couverture vaccinale des pré-ados est
aujourd'hui inférieure à 40 % et nous risquons de voir augmenter le
nombre de ces cas dans les nouvelles générations.» Et cela
d'autant plus que la vaccination des nourrissons stagne toujours
au-dessous de 30 %, alors qu'elle dépasse les 90 % chez nos voisins
européens et en Amérique du Nord. «Contrairement à la vaccination chez
l'adulte, il n'y a jamais eu de doutes quand à l'innocuité de la
vaccination chez le nourrisson, conclut Daniel Lévy-Bruhl, et elle a
été recommandée par la très grande majorité des autorités sanitaires
depuis 1995 : il serait temps de l'appliquer.»
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 18:26

Bon je m'arrête là, et puis après tout, c'est bien connu:

The truth is out there

Et Trust No One!

Sur ce, sans rancune! Wink
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 21:11

Bon parlons technique au lieu de s'insulter d'enfant gaté car si non ça risque de mal finir.

Déja tu es en étude de pharmacie et tu te permets de m'insulter... tu vas donc insulter tes futures clients? Be noui les cons tu es la pro donc tu détiens la vérité absolue?

A propos de future client, une petite question?

Tu as dis que l'hépatite B se transmettait par la salive? Qu'elle est donc avis perso sur la question car je n'ai pas envie de relire pour la centième fois cette article de l'OMS.

Visiblement tu es moins sur de toi.

Pour les vraies obligations , tu utilises à nouveau la propagande des laboratoires en combinant plusieurs vaccin en un:

Voila la vraie obligation:

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Tabvacc


A savoir que le BCG n'est plus obligatoire depuis le 1 juillet 2007 sauf pour certaiens professions.

A savoir que l'hépatite B reste obligatoire pour certaiens professions.


A ce niveau de la conversation tu as déja dis 2 grosses conneries.

Maintenant qui est le plus crédible entre nous deux. Toi qui fait partie d'un système visant à vous manipuler pour ensuite manipuler ou moi qui n'ai aucun intéret financier dans la question?

On voit qu'à ce niveau que la médecine généraliste n'est devenu qu'une histoire de commerce.

Tu parles de manipulation de médecines parallèles????

As tu déja regardé la bourse et observé les marges bénéficiaires d'un groupe comme Sanofi Pasteur? Regardes la 15 pour oberserver la bourse en fonction des nouveaux vaccins sur le marché.

Sais tu au moins que des familles de victimes ont été acheté pour garder le silence quand elles n'ont pas été ruinées dans des procès interminables?

Sais tu qu'il y a en moyenne 10 fois plus de victimes déclarées des vaccins dans les autres pays qu'en France.

Pour la variole et les autres maladies tu changes de sujet? N'aurais tu plus d'argument pour défendre ce vaccin?

Pour information, ton organisme de référence qui est l'OMS a, pour un simple exemple, déclaré en 1962 que le vaccin contre la tuberculose serait inefficace voir dangereux. Son obligation a été maintenue même pour les enfants avec des difficultés respitratoires jusqu'en 2007.

Veux tu encore des exemples?

Je ne détiens pas la vérité mais au moins je ne dis pas une erreur dans chacune de mes phrases.

A propos d'enfant gaté, j'ai beaucoup souffert des effets secondaires d'un médicament interdit peu de temps après mon utilisation et j'ai eu une grave infection oseuse que seul mon système immunitaire a pu réguler.

Je n'en veux pas à la médecine mais par contre je suis fatigué d'entendre toujours le même discours en faveur des laboratoires.

En Afrique, les enfants sont vaccinés à plus de 80%. Ils sont peu être gatés eux aussi?

Bien sur je ne parles pas des associations de victimes des vaccins parfois accusés de sectes.

Voila le pays des droits de l'homme.

Ma fois continus dans ton école de commerce en médicament.

Sans rancune.

Une dernière chose, je connais en général bien les sujets que j'aborde donc la prochaine fois fais attention à ce que tu dis car la ça fait beaucoup entre le mode de contmiantion et les obligations vaccinales.


Quand aux milliers de médecins qui ont déclarés leur méfiance envers les vaccins et parfois révoqués de l'ordre des médecins, tu pourras dire tout ce que tu veux mais au moins ils n'ont pas manqué de courage.

Un petit livre que tu pourras montrer à tes profs. Il a justement été écrit par des médecins et ne coute que 5 euros:

Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) 9782883535435
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeLun 11 Aoû 2008 - 21:31

Citation :
L'hépatite B se transmet principalement par la salive!

L'hépatite B se transmet principalement par voie sexuelle ou sanguine, c'est pour ça que certaines professions comme la mienne sont obligées d'être vacinées (heureusement je pars en libéral, je pourrais faire comme bon me semble).

Ensuite les risques de slérose en plaque liées au vaccin ... ils sont bien réels. La plupart des professionnels de santé les ont constatés.

A mon ancien travail, si l'on refusait le vaccin on était jugées inaptes donc incapable de poursuivre notre travail !
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 12 Aoû 2008 - 13:56

Je cite, extrait du site de l'OMS:

"L'hépatite B est transmise par contact avec le sang ou les liquides
biologiques d'une personne infectée, à l'image du virus de
l'immuno-déficience humaine (VIH), qui est responsable du SIDA. Par
contre, le virus de l'hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que
celui du SIDA. Les principales voies de transmission de l'infection
sont:


  • La transmission de la mère à l'enfant à l'accouchement.
  • La transmission d'enfant à enfant.
  • Les injections et les transfusions à risques.
  • Les contacts sexuels."
Pour toi la salive est quoi à part un liquide biologique? Et comment peuvent se faire les transmissions d'enfant à enfant autrement qu'avec la salive? Par voie sexuelle? Par utilisation d'aiguilles souillées?

Et quand à l'obligation vaccinale, je maintiens que seul le vaccin DTPolio est obligatoire pour les enfants, tu dis toi même que le BCG n'est plus obligatoire! Et sauf avis contraire le vaccin contre l'hépatite B n'est pas encore obligatoire!

Donc révise un peu le sens du mot "connerie" et après toi aussi tu paraitras plus crédible, car niveau "technique" comme tu dis, tu sembles pas aussi bien calé que tu veux bien le dire!
De plus tu sembles donc bien placé pour savoir qu'un médicament responsable d'effets indésirables graves est aussitôt retiré du marché!

Après, libre à toi de croire à la conspiration du corps médical contre les patients, si ça te permet d'être heureux dans ta vie, tant mieux!
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 12 Aoû 2008 - 14:01

Aller juste pour le plaisir, un extrait d'un site que tu ferais bien d'aller consulter:

4. La transmission horizontale

La transmission de l'hépatite B est possible
par la salive, la sueur, les larmes, l'urine.


Elle peut se faire à partir d'objets usuels
(rasoir, brosse à dent, couteau, etc.) au sein d'une même
famille ou dans le cadre d'un habitat collectif. D'où la nécessité
de vacciner l'entourage d'une personne infectée.


Bien que le mécanisme ne soit pas bien connu,
on pense que la transmission du virus de l'hépatite B se fait par
le sang ou les liquides biologiques qui entrent en contact avec la peau
lésée par des blessures, des piqûres d'insectes, l'impétigo,
la gale, etc. La blessure par morsure peut être également
en cause.

Et voilà le lien: http://www.devsante.org/IMG/html/doc-10910.html
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 12 Aoû 2008 - 14:09

Comme tu as un peu de mal à comprendre, je doute qu'un seul article te suffise, je me permet donc d'enfoncer le clou:



modes de transmission

D'après
les estimations de l'Organisation mondiale de la santé, 2 milliards de
personnes sont infectées par le virus de l'hépatite B, dont 350
millions sont porteurs chroniques du virus. Ces derniers présentent un
risque important de déclarer un jour une cirrhose ou un cancer du foie.
Au moins 1 million en meurent chaque année.

Dans les zones de haute endémicité,
telles que l'Afrique et l'Asie du Sud-Est, 70 à 90% de la population
présentent des marqueurs du virus de l'hépatite B et plus de 8% de la
population sont des porteurs chroniques (présence de l'antigène de
surface de l'hépatite B = HBS).

Les zones d'endémicité moyenne sont le
Moyen-Orient, l'Amérique Centrale et l'Amérique du Sud. On observe
entre 2 et 7% de porteurs chroniques et 20 à 55% de personnes
présentant des marqueurs du virus.

Dans les zones d'endémicité faible,
telles que l'Amérique du Nord, l'Europe occidentale et du Nord, le taux
de porteurs chroniques est inférieur à 2% et la présence des marqueurs
du virus se retrouve chez moins de 20% de la population.

Modes de transmission du virus de
l'hépatite B : La transmission du VHB s'explique par : * la longueur de
la phase d'incubation (2 à 6 mois), le sang étant infectant dans la
seconde partie de cette phase * le très haut titre infectieux du sang
(0,0001ml de plasma peut transmettre le VHB) ; - - le grand nombre de
porteurs asymptomatiques * la présence du virus dans tous les liquides
biologiques : liquide séminal (sperme), secrétions vaginales, sueur,
larmes, salive, urine (alors que l'infectiosité des selles est
négligeable) * la fréquence de l'inoculation inapparente.

Le virus de l'hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que le VIH.

La transmission parentérale : La
transmission du virus de l'hépatite B par voie parentérale existe dans
toutes les zones d'endémie. Les sources d'infection sont le sang, les
produits sanguins et dérivés, ainsi que le matériel souillé. L'hépatite
B constitue l'une des infections professionnelles les plus importantes
dans les professions médicales et paramédicales.

La transmission sexuelle : La
présence du VHB dans le liquide séminal et les sécrétions vaginales
explique que l'hépatite B soit une maladie sexuellement transmissible.
Elle survient lors du contact avec des muqueuses fragiles, du sperme,
des sécrétions vaginales ou des menstruations des porteurs du virus de
l'hépatite B.

Le risque d'infection augmente avec le
nombre de partenaires sexuels, le nombre d'années d'activité sexuelle
et la présence ou non d'autres maladies sexuellement transmissibles.

La transmission se fait soit par des
sujets atteints d'infections aiguës, soit par des porteurs chroniques,
mais la plupart du temps, ces infections sont transmises par des
personnes hétérosexuelles ou homosexuelles qui ignorent leur état
d'infection.

La transmission périnatale : La
transmission périnatale ou verticale, qui se fait d'une mère infectée
vers son enfant, est la voie la plus redoutable car, parmi les
personnes en contact avec le virus, ce sont les nouveau-nés qui
présentent le risque le plus important de devenir des porteurs
chroniques. Près de 95% des transmissions périnatales se font lors de
l'accouchement et du post partum. Ainsi, les mères AgHBe positives
transmettent le virus de l'hépatite B dans 70 à 90% des cas. Au moins
90% de ces enfants seront des porteurs chroniques.

La transmission horizontale : La
transmission de l'hépatite B est possible par la salive, la sueur, les
larmes, l'urine. Elle peut se faire à partir d'objets usuels (rasoir,
brosse à dent, couteau, etc.) au sein d'une même famille ou dans le
cadre d'un habitat collectif, d'où la nécessité de vacciner l'entourage
d'une personne infectée.

La surveillance : La surveillance de
l'infection par le virus de l'hépatite B est nécessaire pour déterminer
la prévalence, l'incidence (les nouveaux cas), afin de définir des
priorités et d'élaborer des stratégies de lutte appropriées.

La surveillance doit permettre aux responsables de la santé d'évaluer les éventuelles épidémies.

Le contrôle de l'infection par le
VHB : Il consiste en l'information du personnel de santé, des décideurs
et du public sur les dangers de l'infection par le VHB.

Certains comportements favorisent la
transmission du VHB et d'autres maladies sexuellement transmissibles.
Il s'agit en particulier de l'utilisation des drogues par injection IV,
des rapports sexuels non protégés, de la pratique de tatouages et de
l'acupuncture avec des instruments non stériles ou mal stérilisés.

Une prévention efficace est fonction du niveau d'information sur le VHB, ses modes de transmission et ses conséquences.

Parallèlement à ces mesures, la vaccination doit être encouragée.




Alors d'après toi, lequel de nous deux dit des conneries?
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 12 Aoû 2008 - 14:19

Ah, et au fait, une dernière chose, moi aussi je connais en général bien les sujets que je défend: je ne m'étais trompée ni sur le mode de transmission, ni sur les obligations vaccinales, donc toi aussi fais attention à ce que tu dis: les pharmaciens sont pas si cons et aveuglés par l'argent que ce que tu penses Wink
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitimeMar 12 Aoû 2008 - 17:51

Ce forum devient vraient pourri par des vendeurs de poisons, qui cherchent à se remplir les poches et celles de leurs confrères. Si ça continue, je vais délaisser ce forum et m'en faire un.

Tu reproche à Boukito de sortir des articles du figaro, pas de chance, ces articles ne viennent pas du figaro, et je les ai moi même lus il y a quelque temps.
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MessageSujet: Re: Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin)   Attention nouveau danger pour nos enfants. (vaccin) Icon_minitime

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