Bon je met aussi le texte de Sylvie SIMON sur le tétanos qui est plus récent:
Le vaccin contre le TETANOS est indispensable
« Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse
d’avoir cours. » A. PEYREFITTE
« Le
tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact
d’individu à individu et – mention particulière – la maladie n’est pas
immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations
obligatoires, le Pr. J. Tissot, qui n’était pas un « gourou » de secte,
mais un authentique savant comme il y en avait tant autrefois, posait
la bonne question : « Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais
immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il
mieux protéger de la maladie ? »
L’efficacité du vaccin
antitétanique est très controversée. Déjà il y a quarante ans, nombre
de vaccinalistes pourtant convaincus ne croyaient guère aux effets
protecteurs de cette vaccination. Tel le Dr Henri Sapin-Jaloustre qui,
répondant à une question dans Le Concours Médical, précisait : « Chez
les polyblessés aux plaies multiples et infectieuses, les grands
brûlés, il faut considérer comme nulle la vaccination même récente. »
(…)
En août 1987, la 8ème conférence internationale sur le tétanos s’est
tenue à Léningrad et les représentants de l’OMS voulaient en profiter
pour inclure la vaccination dans un vaste programme de prévention. Le
Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20
malades avaient été correctement vaccinés : les preuves de
l’inefficacité de ce vaccin sont donc flagrantes.
Ainsi, dans
l’armée française, la plus vaccinée des armées alliées ( plus de quatre
millions de vaccinations d’octobre 1936 à juin 1940), le taux de
morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la
campagne de 1940 qu’avant ces vaccinations massives.
Dans l’armée
grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière
guerre a été sept fois moindre que dans l’armée française. Et dans
l’armée américaine, pendant la Deuxième Guerre mondiale, sur 10
millions de mobilisés il y eut un demi-million de blessés et 12 cas de
tétanos, 6 chez les non vaccinés et 6 chez les vaccinés. Pour sa part,
l’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en 15 ans, sans faire baisser
le moins du monde l’incidence de la maladie.
En Belgique, le Dr
Kris Gaublomme a rassemblé toute une série d’articles, publiés dans The
International Vaccination Newsletter de septembre 1996, qui corroborent
ces observations. « En 1959, Edsal parlait déjà de l’échec du vaccin.
Goulon en 1972 a vu 10 sur 64 patients immunisés, contracter le
tétanos. Même chose chez Berger en 1978 qui a noté diverses
observations sur des patients bien vaccinés qui avaient malgré tout
contracté le tétanos. »
Et le Dr Kris Gaublomme d’avertir les
médecins et les candidats à cette vaccination : « Plusieurs auteurs
insistent sur la nécessité de disposer d’adrénaline chaque fois que
l’on administre l’anatoxine tétanique, admettant par là que cette
vaccination constitue en réalité une intervention qui menace la vie,
même chez les individus apparemment en bonne santé ; Voilà qui se passe
de commentaires. »
Ce sont les pays où la vaccination est le
moins pratiquée qui présentant le moins de cas de tétanos. Il se trouve
que la France détient le record des cas de tétanos après le Portugal,
les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.
Selon
l’OMS, le taux d’anticorps ( ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré
comme protecteur. Mais la présence d’anticorps n’est pas une garantie
de sécurité comme nous l’avons vu, aussi impose-t-on des rappels tous
les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour
« assurer » la restauration de l’immunité.
Ce vaccin est censé
mettre en route une immunité cellulaire et humorale, mais on nous cache
qu’il ne peut pas agir au niveau des neurones et des centres nerveux,
cibles privilégiées de la toxine tétanique . On trouve ce bacille sous
formes de spores dans la terre, dans les excrétions d’animaux
herbivores, mais pour déclencher la maladie, il est indispensable que
les spores tétaniques soient dans un milieu anaérobie, c'est-à-dire
privé d’air. L’anatoxine ne peut donc agir que sur la portion de toxine
circulant dans le sang et la lymphe.
Pour qu’il y ait tétanos,
il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en
anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire
dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène
dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des
bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans
les tissus normaux, bien irrigués.
L’unique expérience sur
laquelle a été basé ce vaccin fut menée par le Pr. Gaston Ramon,
vétérinaire à l’Institut Pasteur, qui a malheureusement « oublié » que
le microbe du tétanos et sa toxine appartiennent à un monde anaérobie
strict et que les anticorps appartiennent à un monde aérobie strict.
Le
Dr Méric précise : « Le système immunitaire se trouve entièrement dans
la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui
forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce
monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient à ce
monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et
uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c'est-à-dire en
aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et
obligatoirement anaérobies, donc les microbes et la toxine du tétanos
et les anti-toxines ne peuvent en aucun cas se rencontrer. » D’après
lui, il est absolument impossible que les anticorps vaccinaux
rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.
Le
vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut
toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres
post-vaccinaux. La littérature médicale mentionne : des réaction aiguës
(choc anaphylactique pouvant entraîner la mort dans les heures qui
suivent la vaccination, urticaire généralisé, syndrome de Lyell,
déficit de coagulation, œdème, asthme et autres allergies respiratoires
ou cutanées), des réaction neurologiques (encéphalite, syndrome de
Guillain-Barré, syndrome de Landry ou paralysie des nerfs
respiratoires, névrite périphérique, douleurs articulaires
persistantes, épilepsie, spasmes tétaniques, vascularite cérébrale,
névrite péribrachiale, paralysie motrice des membres, paralysie du
larynx.), des complications cardiaques (infarctus du myocarde,
tachycardie), ainsi que des formes atténuées du tétanos qui posent des
problèmes de diagnostic.
Cette liste n’est pas exhaustive, et pourtant personne ne parle d’un seul effet indésirable concernant ce vaccin.
Les
traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on
connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos,
polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr. Delbet. Le Dr Neveu
avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des
personnes atteintes de diphtérie et le Pr. Delbet voulut présenter ce
rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition
farouche de la part du corps médical. Dans une lettre adressée au Dr
Neveu en date du 16 novembre 1944, il révélait :
« La
publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée.
Le Conseil de l’Académie a trouvé, après 6 mois de réflexion,
l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la
diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de
généraliser ces vaccinations. »
Voilà un exemple flagrant de
mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des
solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie
autorisée, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que
l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement
qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée
des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie !
Les
cahiers de la Société Médicale de Biothérapie (n°39 de septembre 1973)
ont publié les résultats des Docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par
le Dr Chevreuil de Nantes, concernant des cas très graves de tétanos.
Il s’agissait de personnes considérées comme perdues. Ils obtinrent
pourtant des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de
chlorure de magnésium dans 20 cm3 de sérum physiologique par voie
intraveineuse. Actuellement, le chlorure de magnésium à utiliser se
présente en ampoule de 10cm3 à 10% . Il doit être administré en
intraveineuse avec une aiguille très fine. L’injection doit se faire
très lentement, en vingt minutes, par un professionnel.
Connaît-on ce traitement miraculeux dans les hôpitaux ? Il est probable que non.
Bon je vais me coucher, j'ai jusqu'au mois d4OCTOBRE pour prendre ma décision.